On va faire tomber tous les murs
Entre l'amour et puis l'amour
Comme un retour vers le futur
Comme un premier bonheur du jour
Ressusciter l'espoir le plus fou
C'est comme un cri qui chante en nous
Mépriser l'arrogance
Faire parler les silences
En mots plus doux, plus tendres
Aimer ceux qui dérangent
Comme l'oiseau, je m'envole
Tout en moi se libère
Je n'ai plus de frontières
Folle, je ne suis pas folle
J'ai le cœur farandole
Et l'amour pour bannière
Le temps va refaire notre histoire
Y a plus de honte à ma mémoire
L'amour a guéri ses blessures
Il a fait tomber tous les murs
Ressusciter l'espoir le plus fou
C'est comme un cri qui chante en nous
Mépriser l'arrogance
Faire parler les silences
En mots plus doux, plus tendres
Mon bonheur est immense
Comme l'oiseau, je m'envole
Tout en moi se libère
Je n'ai plus de frontières
Folle, non je ne suis pas folle
J'ai le cœur farandole
Et l'amour pour bannière
Comme l'oiseau, je m'envole
Tout en moi se libère
Je n'ai plus de frontières
Folle, non je ne suis pas folle
J'ai le cœur farandole
Et l'amour pour bannière
L'or d'une nuit d'Orient coule à flots
Le parfum des fleurs d'oranger si doux
Le thé au jasmin parfume la peau
Des milliers de diamants roulent
Assise comme une image au bord de l'eau
Sa peau cuivrée attire même les bateaux
Elle est bien trop belle, ces murs bien trop hauts
Même si elle est fidèle à leurs désirs
Elle voudrait au moins choisir
De vivre comme une reine ou d'être une sirène
Quand le jour se lève
La nuit tombe à genoux
Le plus fou des rêves brille à son cou
Sur le toit du palais elle cueille des étoiles
Leïla les anges ont des voiles
Elle a appris à parler cette langue
Que seul les sultans ont le droit d'apprendre
Les yeux voilés, le corps à moitié nu
Elle danse et sans aucune retenue
Sourit mais pense à partir
Pour vivre mais comme une reine
Ou être une sirène
Elle se sent comme un oiseau
Partirait mais reviendrait bientôt
Elle pourrait enfin choisir
De vivre plus libre... Leïla
Elle va enfin choisir de vivre comme une reine
Ou être une sirène
Les amoureux de l'an deux mille
cherchent à comprendre
Que seules leurs mains restent mobiles
Pour se défendre
Ils transmettent par ordinateur
Chacun des battements de leur cœur
Les amoureux de l'an deux mille
Viennent juste d'apprendre
Que pour se câbler sur la ville
Faut être Internet tendre
Pour garder l'envie d'exister
Presser sur start et démarrer
Débranchez moi
Je voyage vers ce monde là
Monde sans été
Monde sans hiver
J'préfère brûler en enfer
Débranchez moi
Videz ma tête de ce métal
Arrachez ces câbles et faites moi mal
réanimez l'animal
Les amoureux de l'an deux mille se synthétisent
En plusieurs sentiments stériles
Qui s'électronisent
S'informatisent
Un simple rendez vous magique
Passe par un module de plastique
Débranchez moi
Je voyage vers ce monde là
Monde sans été
Monde sans hiver
J'préfère brûler en enfer
Débranchez moi
Videz ma tête de ce métal
Arrachez ces câbles et faites moi mal
réanimez l'animal
Les amoureux de l'an deux mille
N'ont plus rien à craindre
On fait l'amour cybernétique
On vient de s'éteindre
Débranchez moi
Videz ma tête de ce métal
Arrachez ces câbles et faites moi mal
réanimez l'animal
Débranchez moi
Je voyage vers ce monde là
Monde sans été
Monde sans hiver
J'préfère brûler en enfer
Débranchez moi
Videz ma tête de ce métal
Arrachez ces câbles et
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Tu es comme un souffle court
Un trait fait par une main souillée
Qui te berce en secret
Tu sens que ces gestes sont volés
Que personne ne te croirait
Qu'on dira qu'il t'aimait
Ton corps est une île perdue
Le souvenir d'enfance
D'une princesse sans défense
Qui en a bien trop vu
Et puis s'est tue
Trouver les mots qui se sont noyés
Au fond de tes nuits violées
Et survivre au secret
Ton corps est une île perdue
Portée par une mere aux larmes salées et amères
Où plus rien ne vit
Rien ne s'espère
Pourtant tu pries, renies
Ce que crie ton ventre
Tu le jures, te rassures,
Tu es vivante
La femme que tu deviendras
La voie de ton ame
Le chemin que trouvera ton cœur
Et qui sauvera l'enfant,
La sœur, tu n'as pas fait d'erreurs
Tu n'as rien à reprocher à la petite fille que tu étais
Il ne te suffira que de l'aimer
Ton corps est parfait
Laisse-le t'aimer
C'est ça le secret
1, 2, peut-on compter jusqu'à 2 ?
Toi et moi, qui n'étions pas
Arrivés jusque-là
C'est sûr, pour guérir de nos blessures
Faut plus de 80 jours
Pour en refaire le tour
Je ferai le tour du monde
My love, lovée dans tes bras
Je partirai à la seconde
Sans passeport mais pas sans toi
Je crois que le soleil se lèvera
Si tu t'endors dans mes bras
On ne vieillira pas
Allez, tu m'as promis d'embarquer
On voyagera léger
Sans le poids du passé
Je ferai le tour du monde
My love, lovée dans tes bras
Je partirai à la seconde
Sans passeport mais pas sans toi
1, 2, peut-on compter jusqu'à 2 ?
Toi et moi, qui n'étions pas
Arrivés jusque-là
1, 2, peut-on compter jusqu'à 2 ?
Un peu plus tard on verra
Si l'on peut être trois
Je ferai le tour du monde
My love, lovée dans tes bras
Je partirai à la seconde
Sans passeport mais pas sans toi
Le jour où tu partiras
Bien plus loin qu'ici, ailleurs ou là-bas
Ce jour-là, au moins préviens-moi
J'allumerai des bougies en mémoire de toi
Et comme tu les aimais tant
Ces odeurs de cannelle je brûlerai de l'encens
Pour ton cœur infidèle
Ce n'est pas que je crains pour l'amour
Mais qu'à force de moi
Tu te lasses un beau jour
Je sais ton amour est discret
Il fantasme en secret
Mais l'amour c'est l'amour
Le jour où tu partiras
Prétextant sans complexes
L'abus de mes caresses
Ce jour-là
J'accuserai tes bras d'abandon de tendresse
Et de fausses promesses
Le jour où tu partiras
Quittant notre chez toi
Mon cœur voudra se taire
Dans ce v
ide qui m'encombre déjà
Sans l'écho de ta voix ta voix je serai prisonnière
Le jour où tu partiras
Laisse-moi ton adresse
Je t'écrirai tendresse
Ce jour
-là au moins préviens-moi
Je me poste chez moi
Besoin d'amour express
Non tu ne partiras pas
Tu ne partiras pas
Partiras pas
Mon sang soleil
Veine sanguine
Descendre à l'âme
Comme à la mine
Frotter la chair
Noircie dessous
L'air m'a manqué
A tes genoux
Ma Barbarie
Que rien ne chasse
Combien de temps
De guerres lasses
Entend l'amour
Que nous faisions
Passé le fruit
L'hiver est long
Roi de Sicile
Ou d'une île aussi seule
Ici le roi est une femme
Le roi est une femme
Et ma peau toujours se grise
D'être facile et soumise
Le roi, le roi est une femme
Le roi est une femme, le roi
Mon sang que j'aime
Passe à mon cœur
Régner ne doit
Pas te faire peur
Chercher la vie
Trouver c'est tout
On vit encore
Loin de chez nous
Au saut du ciel
Nos ailes se suivent
De mes épaules
Jusqu'à tes griffes
Par ces points d'eau
Dont tu me prives
Comme la mer
Sur les récifs
Roi de Sicile
Ou d'une île aussi seule
Ici le roi est une femme
Le roi est une femme
Et ma peau toujours se grise
D'être facile et soumise
Le roi, le roi est une femme
Le roi est une femme
Je peux choisir les pierres de ma maison,
Et même un Dieu pour mes prières.
Et quand je désespère, j'ai ma raison,
Qui m'encourage et qui m'éclaire.
Mais je ne peux rien faire
Contre la mort, contre la vie, contre l'amour.
Je peux choisir ma terre
Et c'est un jeu de prendre ou non le vent qui passe.
Je fais de la lumière, je fais du feu,
Quand ils s'éteignent, je les remplace.
Mais je ne peux rien faire
Contre la vie, contre la mort, contre l'amour.
Je peux choisir la guerre ou bien la paix
Et le plaisir quand il me tente.
Je peux changer mon cœur d'autres l'ont fait,
Jeter mon âme dans la tourmente.
Mais je ne peux rien faire
Contre la mort, contre la vie, contre l'amour.
Laisse-moi rêver,
Laisse-moi y croire
Toucher le ciel
Du bout des doigts
Et faire le vide
Dans ma mémoire
N'aimer que toi.
Laisse-moi rêver
D'une embellie
Où tout s'efface,
Où tout s'oublie.
Les mauvais jours
La guerre, la peur
Vivre l'amour
Selon mon cœur,
Et la passion
Qui brûle entre nous deux
Comme la neige et le feu.
Laisse-moi rêver ,
Que je m'envole
Intemporelle très loin de tout.
Que je me grise
De tes paroles
Contre ton cou.
Laisse-moi rêver
D'une maison claire
D'une chambre
Bleue près de la mer.
Après ces drames
D'adolescents,
Mouillés de larmes
Tachés de sang.
Pour oublier ce soir
Je veux rester
La tête sur ton épaule
Les yeux fermés.
Ne trouble pas
Ce bonheur là
Laisse-moi rêver.
Laisse-moi rêver,
Laisse-moi y croire
Toucher le ciel
Du bout des doigts.
Après ces drames
D'adolescents,
Mouillés de larmes
Tachés de sang.
Pour oublier ce soir
Je veux rester
La tête sur ton épaule
Les yeux fermés.
Ne trouble pas
Ce bonheur là
Laisse-moi rêver.
Ecris-moi une lettre de rupture
En m'expliquant toutes les raisons
Qui t'ont fait t'évanouir dans la nature
Qui me font mélanger toutes les saisons
Choisis bien tes mots, choisis les justes
Comme un artisan prend
Son temps quand il ajuste
Ecris-moi une lettre de rupture
Envoie-moi seulement le brouillon,
Promis, je ne vais rien chercher dans tes ratures
Ecris-moi une lettre au crayon
Ecris-moi comme on écrit la musique
Sacrifie-moi au Dieu
Des amours amnésiques
Même si partir quand l'autre reste
Ça fait du mal aux sentiments
Ça peut quand même faire un beau geste
Sauf si, bien sûr, l'un des deux ment
Ecris-moi une lettre de rupture
Comme on se laissait des mots à la maison
Je ne noterai pas les fautes d'écriture
Je ne verrai pas les fautes de liaisons
Et j'irais bien la chercher moi-même
Si je n'étais pas si sûre, pas si sûre que je t'aime
Même si partir quand l'autre reste
Ça fait du mal aux sentiments
Ça peut quand même faire un beau geste
Sauf si, bien sûr, l'un des deux ment
Même si partir quand l'autre reste
Ça fait du mal aux sentiments
Ça peut quand même faire un beau geste
Sauf si, bien sûr, l'un des deux ment
Ecris-moi une lettre de rupture,
En m'expliquant toutes les raisons
Qui t'ont fait t'évanouir...