Pour sortir d'un tout qui n'est rien
Il prend son courage par la main
En découvrant le mal
Qu'elle lui faisait pour son bien
Il a perdu tous ses reves en chemin
Sans etre ni frere ni ami
Ils s'étaient promis toute une vie
Elle voulait lui faire un enfant
C'était du faux, c 'étais du vent
Elle inventait la vérité
Il se déchire comme du papier
Ne lui parlez plus d'elle
elle est encore dans les regard
qui se mélangent dans son miroir
oubliées les images
et toutes ces femmes infidéles
il voudrait tellement qu'elle ne soit
qu'une souris parmis les chats
dans cette vie,
ne lui parlez plus d'elle
a présent, le passé se meurt
les regrets ne tuent pas les heures
il n'existe pas une armure
qui puisse empecher les blessures
il faut éloigner le silence
pour qu'il retrouve sa confiance
Ne lui parlez plus d'elle
elle est encore dans les regards
qui se mélangent dans son miroir
oubliées les images
Non, plus jamais il ne laissera
son envie d'aimer etre seul maitre
non, plus jamais il ne l'oubliera
mais il apprendra qu'on peut renaitre
Ne lui parlez plus d'elle
elle est encore dans les regard
qui se mélangent dans son miroir
oubliées les images
et toutes ces femmes infidéles
il voudrait tellement qu'elle ne soit
qu'une souris parmis les chats
dans cette vie,
ne lui parlez plus d'elle
À m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
Et regarder les gens tant qu'y en a
Te parler du bon temps
qu'est mort ou qui reviendra
En serrant dans ma main tes petits doigts
Pis donner à bouffer à des pigeons idiots
Leur filer des coups d'pieds pour de faux
Et entendre ton rire
qui lézarde les murs
Qui sait surtout guérir mes blessures
Te raconter un peu
comment j'étais mino
Les bonbecs fabuleux
qu'on piquait chez l'marchand
Car-en-sac et Minto,
caramel à un franc
Et les mistrals gagnants
À remarcher sous la pluie
cinq minutes avec toi
Et regarder la vie tant qu'y en a
Te raconter la Terre en te bouffant des yeux
Te parler de ta mère un petit peu
Et sauter dans les flaques
pour la faire râler
Bousiller nos godasses et se marrer
Et entendre ton rire comme on entend la mer
S'arrêter, repartir en arrière
Te raconter surtout les carambars d'antan
et les cocos bohères
Et les vrais roudoudous
qui nous coupaient les lèvres
Et nous niquaient les dents
Et les mistrals gagnants
A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
Et regarder le soleil qui s'en va
Te parler du bon temps
qu'est mort et je m'en fous
Te dire que les méchants c'est pas nous
Que si moi je suis barge,
ce n'est que de tes yeux
Car ils ont l'avantage
d'être deux
Et entendre ton rire s'envoler aussi haut
Que s'envolent les cris des oiseaux
Te raconter enfin
qu'il faut aimer la vie ... Read more »
J'aime son désir
J'aime son délire
J'aime sa voix lente
Ses mains qui tremblent
J'aime son visage
Posé sur les plages
De mes jouets secrets
D'aventure en immatures
Intenses et vrais bonheurs
J'aime mon désir
J'aime mon délire
Pour lui
C'est un soleil, un éternel
Un être étrange à la peau d'ange
J'aime son désir
J'aime son délire
Pour moi
Milles nuits sans jours
Sécrètent l'amour
Que l'on défait et se fait toujours
Cachés sous le voile
D'un million d'étoiles
En silence on se respire...
Deux ames blessées
Ressuscitées par ces gestes pures
On se laisse aimer
Délivrés de l’armure
Poussent les ailes, guérissent
Celles qu’on avait brisées, replies
Tout ce désire
Et ce grande délire
C'est toi
Au bout du téléphone, il y a votre voix
Et il y a des mots que je ne dirai pas
Tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire
Qui sont dans trop de films, de chansons et de livres
Je voudrais vous les dire
Et je voudrais les vivre
Je ne le ferai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je suis seule à crever, et je sais où vous êtes
J'arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître
Préparez votre temps, pour vous j'ai tout le mien
Je voudrais arriver, je reste, je me déteste
Je n'arriverai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je devrais vous parler,
Je devrais arriver
Ou je devrais dormir
J'ai peur que tu sois sourd
J'ai peur que tu sois lâche
J'ai peur d'être indiscrète
Je ne peux pas vous dire que je t'aime peut-être
Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne crois pas que tes souvenirs me gênent
Et cours, cours jusqu'à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m'aimes
Et si ce jour-là tu as de la peine
A trouver où tous ces chemins te mènent
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S'installe en toi
Pense à moi
Pense à moi
Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne le considère pas comme un problème
Et cours et cours jusqu'à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m'aimes
N'attends pas un jour, pas une semaine
Car tu ne sais pas où la vie t'emmène
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de
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C’est tout cassé, tout déchiré
Un petit bout de moi vient de se détacher
Un être est passé
Comme une étincelle, s’est infiltré
Empoisonnée, prise dans ses chaîines
Je me cache en silence entre deux mes prières
Ramassant les heures qu’il a jeté de son trouble cœur
Qu’elle est la peine qui nous unit ?
Qui fait que l’on aime une béquille?
Une chaîne, une chaîne
Déboussolée, doit s’enivrer, d’un amour et d’amours exsangues et torturées
Je vais me lancer dans d’autres bras qui ne me veulent pas
Le temps de recouvrer la mémoire
Du temps où je n’étais pas dérisoire
Même remplie de rêves immenses avec lesquels je danse avant de m’éveiller
De m’éveiller
C’est plus cassé, j’ai réparé
Je me souviens qu’il est l’heure de tout oublier
Un être est passé
Une autre peine est pardonnée
Share my thoughts if you will
And guide me through
I am the kind of mind,
Who’s torn in two
Doctor Jackil or Hyde
which one? just choose!
Know I can be from hell or Moulin Rouge
I’ll be yours
And when you'll have me
You'll be cursed
Because you love me
I've rehearsed
Every word of the sсene
Don’t approach me
Don’t touch my skin
I will burn you alive
I’ve regretted
Though I hate it
I am m-lle Hyde
I swear I always try to stop the game
When it’s goodness I play
I get check-mate
When I am just about
To beat the beast
It’s half a nature I fight
That I release
Hold me tight
May be this time I’ll escape
The dark evil side
If you dare
I’m ready to surrender
Now approach me
Now touch my skin
I will keep you alive
I’ve regretted though I hate it
I'll kill m-lle Hyde
Don't approach me
Don't touch my skin
I will burn you alive
You've approached me
You've touched my skin
Now you are a mister Hyde
Llora sin lágrimas, llora con tu sonrisa,
Llora con todo y te va a pasar.
Llora y se va a caer este dolor inmenso,
Llora para buscar un poco de paz.
Llora y te escucharé, llora como yo canto,
Libra lo que te mata el corazón,
Llora y compartiremos la pena que tu cuerpo
No tenía que descubrir,
Llora no tengas miedo,
Soy un alma sincera llora amiga mía.
Déjalo ir, amor no tiene, deja tu pena en un rincón,
Abre la puerta y vámonos.
¿Por qué morir? Voy adelante,
Si quieres aire y felicidad, libertad.
Siéntate aquí conmigo,
Háblame de tus sueños,
Los que dibujan niños tan feliz
Siéntate un momento luchemos en silencio
Y que vuelva el cielo azul,
Que nadie te haga daño,
Que nunca más te condenen hasta el momento de morir,
Déjalo ir, amor no tiene, deja tu pena en un rincón,
Abre la puerta y vámonos.
¿Por qué morir? Voy adelante,
Si quieres aire y felicidad, libertad.
Déjalo ir, amor no tiene, deja tu pena en un rincón,
Abre la puerta y vámonos.
Déjalo ir, amor no tiene,
Un hombre no es hombre si no puede amar...
Una fatina, una bambina, una stellina è
Balla come se le ali ce le avesse
E canta canta come me
Con lanima leggera
Quando la osservo vedo un cuore che
Già vola più alto
Vola per il mondo cercando libertà
Quando poi mi perdo nei pensieri suoi
Chiedo e mi risponde
Con lo sguardo dolce blu
Profondo
Una fatina, una bambina, una stellina è
Un angelo che
Cade senza che nulla laspetti
Un regalo in sé
Amore vero è
Quando nelle mie braccia si addormenta lei
Sento sulla faccia
Lacrime di gioia
Ed un sorriso pieno
Quando poi si sveglia e corre verso me
Sento che la vita
Finalmente è tutta lei
È Lou
È Lou
Des hommes,
Quand ils dansent comme personne
Quand ils chantent, que ça sonne
D'Astaire à Morrisson
Des ricains,
Quand ils jettent du bon vin
On leur foutrait des pains
Là, c'est plus nos copains
Tout comme nous,
Ils font le mal
Tout comme nous,
Ils font le bien
Comme on peut être animal
On peut aussi être humain
Etre homéricains
Des hommes,
Quand Michael Moore cogne
Sur un système “qui Bush” on
De Kaboul à Enron
Des ricains,
Quand se dressent les faux seins
Les fast-foods à chaque coin
Fausse viande dans les mains
Tout comme nous,
Ils font le mal
Tout comme nous,
Ils font le bien
Comme on peut être animal
On peut aussi être humain
Etre homéricains
Des hommes,
Quand la leçon qu'ils donnent
Est d'être comme un seul homme
Au pied des tours fantômes
Des ricains,
Quand au nom du divin
Ils sirotent leur voisin
Pour pouvoir faire le plein
Tout comme nous,
Ils font le mal
Tout comme nous,
Ils font le bien
Comme on peut être animal
On peut aussi être humain
Tout comme nous,
Ils sont des hommes
Nous sommes aussi des ricains
Jamais la foi n'abandonne
Les hommes, les homéricains...