I don't know what's going on
You turn around and touch my heart
A silent moment speaks the truth
Something has happened all at once
It should have scared me in advance
But I was falling in those eyes of yours
And so
Fear was gone
I knew there was nothing else
I'd ever want
I know you
You're not from here
I've waited for you to appear
To take my breath way
And make me weep
You're not from here
Not from this here and now
Just a touch of yours
And I fly, and I fly, and I fly
I can't get used to missing you
If this is how it's gotta be
I need an angel to watch over me
No one can hold the hands of time
But I can hold you in my mind
Over and over like a melody
For now
I'll stand still
For now
I'll be filled by the memory of your skin
I know you
You're not from here
You don't belong to lies and tears
The greatness of your soul
Makes me weep
You're not from here
Not from this here and now
Just a touch of yours
And I fly, and I fly… and I fly
I know you
You're not from here
I've waited for you to appear
To take my breath way
And make me weep
You're not from here
Not from this here and now
Just a touch of yours
And I fly, and I fly, and I fly
Petite rose bien esseulée
Recherche tendre jardinier
Pour cultiver des tendresses
Près d'une grande maison fleurie
Petit navire fuyant l'hiver
Recherche capitaine au long cours
Pour entreprendre une croisière
Sur un océan d'amour
Urgent désir Vous rencontrer
Soit pour la vie Soit pour l'été
Tout effacer
recommencer
Urgent désir
Je suis femme douce et féline
La nuit j'ai le corps andalou
L'amour me rend câline
J'ignore les tabous
Si tu as l'âme de poète
Et tu te sens bien dans ta tête
Si ton cœur est de bohème
Je saurai dire je t'aime
Urgent désir Vous rencontrer
Soit pour la vie Soit pour l'été
Tout effacer
recommencer
Urgent désir
Urgent désir Vous rencontrer
Soit pour la vie Soit pour l'été
Peur de mourir sans être aimée
Sans vous connaître
Urgent désir Vous rencontrer
Soit pour la vie Soit pour l'été
Peur de mourir sans être aimée
Sans vous connaître
Bien sûr il y a les guerres d'Irlande
Et les peuplades sans musique
Bien sûr tout ce manque de tendre
Et il n'y a plus d'Amérique
Bien sûr l'argent n'a pas d'odeur
Mais pas d'odeur vous monte au nez
Bien sûr on marche sur les fleurs
Mais voir, voir un ami pleurer
Bien sûr il y a nos défaites
Et puis la mort qui est tout au bout
Le corps incline déjà la tête
Étonné d'être encore debout
Bien sûr les femmes infidèles
Et les oiseaux assassinés
Bien sûr nos coeurs perdent leurs ailes
Mais voir, voir un ami pleurer
Bien sûr ces villes épuisées
Par ces enfants de cinquante ans
Notre impuissance à les aider
Et nos amours qui ont mal aux dents
Bien sûr le temps qui va trop vite
Ces métros remplis de noyés
La vérité qui nous évite
Mais voir, voir un ami pleurer
Bien sûr nos miroirs sont intègres
Ni le courage d'être juif
Ni l'élégance d'être nègre
On se croit mèche on n'est que suif
Et tous ces hommes qui sont nos frères
Tellement qu'on n'est plus étonné
Que par amour ils nous lacèrent
Mais voir, voir un ami pleurer.
Avant même que l'on ne soit vie, on est pris
Dans un nid de chair et de tendresse
Une étreinte infinie
Qui nous lie
Nous délivre une sagesse
Tout déjà est acquis
Mais pour qui dès ce cri
Trahissons-nous le geste d'amour qui unit
Désunit et nourrit les regrets?
Un Ave Maria dont l'enfant ne serait pas
Une statuette, une prière sans foi
Mais une lettre offerte
A ceux qui n'écrivent pas
Pour que les mots résonnent enfin
Comme un Ave Maria
A vous, à nous, à ceux qui
Trouveront une paix,
Une terre, une harmonie
Une infinie raison,
Sans raison d'être,
Sans être honni
Et ceux qui "mal y pense",
Qu'ils le pensent
À bientôt, mais dans une autre vie
Dans celle-ci qu'on se donne
Une chance de tout recommencer
Un Ave Maria dont l'enfant ne serait pas
Une statuette, une prière sans foi
Mais une lettre offerte
A ceux qui n'écrivent pas
Pour que les mots résonnent enfin
Comme un Ave Maria
Un Ave Maria
Pour ceux qui ne prient pas
Pour que la musique soit à nouveau la voix
D'un aveu impudique pour ceux qui ne croient pas
Pour tous ceux qui méritent enfin
Un Ave Maria
Je fréquentais alors des hommes un peu bizarres
Aussi légers que la cendre de leurs cigares
Ils donnaient des soirées au château de Versailles
Ce n'étaient que des châteaux de paille
Et je perdais mon temps dans ce désert doré
J'étais seule quand je t'ai rencontré
Les autres s'enterraient, toi tu étais vivant
Tu chantais comme chante un enfant
Tu étais gai comme un italien
Quand il sait qu'il aura de l'amour et du vin
Et enfin pour la première fois
Je me suis enfin sentie :
Femme, femme, une femme avec toi
Femme, femme, une femme avec toi
Tu ressemblais un peu à cet air d'avant
Où galopaient des chevaux tous blancs
Ton visage était grave et ton sourire clair
Je marchais tout droit vers ta lumière
Aujourd'hui quoi qu'on fasse
Nous faisons l'amour
Près de toi le temps parait si court
Parce que tu es un homme et que tu es gentil
Et tu sais rendre belle nos vies
Toi tu es gai comme un italien
Quand il sait qu'il aura de l'amour et du vin
C'est toujours comme la première fois
Quand je suis enfin devenue :
Femme, femme, une femme avec toi
Femme, oh ! femme, une femme avec toi
Femme, femme, une femme avec toi.
Si je pouvais
Je te dirais
Reste avec moi
Sur mon cœur et mon âme
Se brise un larme
Je n'ai pas le droit
J'ai envie de te garder là
Te parler tout bas
Quand ma peau nue frémit sous tes doigts
Et je vois dans tes yeux
Que c'est elle que tu veux
Tu t'en vas me laissant seule derrière toi
Tu t'en vas et mon cœur s'envole en éclats
Tu t'en vas en arrachant un bout de moi
Mais tu t'en vas à chaque fois
Retrouver ceux qui t'appartiennent
Retrouver celle qui se fait tienne sous ton toit
Anéantie je te souris
Je n'peux plus parler
Je regarde derrière moi
Et je prends dans mes bras
Le calendrier
Des jours à t'attendre, à mourir
À m'ennuyer de toi
J'aurais envie d'aller tout lui dire
Mais si tu n'me revenais pas, non
Comment te garder près de moi
Tu t'en vas me laissant seule derrière toi
Tu t'en vas et mon cœur s’envole en éclats
Tu t'en vas en arrachant un bout de moi
Mais tu t'en vas
C'est la dernière fois
Je ne suis qu'une deuxième voix
Celle que ton cœur n'entendras pas
Âme ou sœur
Jumeau ou frère
De rien mais qui es-tu
Tu es mon plus grand mystère
Mon seul lien contigu
Tu m'enrubannes
Et m'embryonnes
Et tu me gardes à vue
Tu es le seul animal de mon arche perdue
Tu ne parles qu'une langue
Aucun mot déçu
Celle qui fait de toi mon autre
L'être reconnu
Il n'y a rien à comprendre
Et que passe l'intrus
Qui n'en pourra rien attendre
Car je suis seule à les entendre
Les silences et quand j'en tremble
Toi, tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit
Moi, je suis ton autre
Si nous n'étions pas d'ici
Nous serions l'infini
Et si l'un de nous deux tombe
L'arbre de nos vies
Nous gardera loin de l'ombre
Entre ciel et fruit
Mais jamais trop loin de l'autre
Nous serions maudits
Tu seras ma dernière seconde
Car je suis seule à les entendre
Les silences et quand j'en tremble
Toi, tu es mon autre
La force de ma foi
Ma faiblesse et ma loi
Mon insolence et mon droit
Moi, je suis ton autre
Si nous n'étions pas d'ici
Nous serions l'infini
Tu me manques y'a rien à faire
Tu me manques pas de mystère
Pourquoi ce cœur fracturé
Ne peut se détacher
Ton image est gravée
Mon rêve s'est envolé
Dans un écrin de soleil
Ma vie ou la pluie c'est pareil
Tu me manques j'y crois encore
Tu me manques l'amour est fort
Comment pourrais-je accepter
Que le ciel vienne à tomber ?
Tu me manques, ça va passer
Tu me manques, j'suis déchirée.
Je n'trouve que ces mots-là
Pour te dire je t'aime 100 fois.
Tous les jours s'agrandit ce petit bout d'amour
Celui qu'j'avais construit pour toi jour après jour
J'aurais voulu te dire les mots qu'on ne dit pas
Apprendre à les écrire te les chanter tout bas.
Tu me manques trop tard le soir
Tu me manques, je garde espoir
Je sais que quelqu'un là haut nous a porté ce soir
Nous a laissé le temps, le temps d'un sentiment
Même si la vie souvent fait battre nos coeurs
à contre-temps.
Tu me manques, as-tu compris ?
Tu me manques, j'ai froid la nuit.
Montréal ou Paris, où es-tu, trop loin d'ici ?
Tu me manques je te l'ai dit
Tu me manques, je te l'écris
Je ne trouve que ces mots-là
Pour te dire je t'aime 100 fois
Tu me manques...
Tout
Tout est ici-bas
Le fruit d'un ventre rond
Plein de vie qui va
Le ventre d'une femme
Que l'on aime
Que l'on hait
Que l'on sème
Mais en silence elles déploient
Les ailes du vaisseau
Où elles couchent les rois
Où ils boivent la sève
Qui soulève
Leur plus intriguant émoi
Toutes les femmes en moi
Sont éternelles
Enfant d'une étoile
Accrochée à un ciel
Qui les malmène
Et les vénère à la fois
Foi
Qui les tue, les bat
Au nom d'un nom sacré
Que l'on prononce pas
Car notre père
Dommage et j'enrage
Est un humain
Qui se noie
Qui
Ne regardera pas
La fillette aux yeux vides
Que l'on mariera
Envers et contre toutes le prières
Que sa mère prononcera
Toutes les femmes en moi
Sont souveraines
Je suis un peu chacune d'elles
Forte ou fragile
Douce ou rebelle
Toutes les femmes en moi se mêlent
Toutes les femmes en moi
Sont éternelles
Enfant d'une étoile
Accrochée à un ciel
Qui les malmène
Et les vénère à la fois
On rêve toutes un peu
Des formes de Monroe
Du verbe de Djavan
Du courage de Buttho
Je rêve du jour enfin
Où un mec perdra les eaux
Et où l'on gagnera comme lui
Le salaire du guerrier
Mais aussi le repos
Ce jour d'été suprême
Où coulera à flots l'eau
Qu'on suce à la terre
Et qui nous fait défaut
Ce j
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Never we should not say never
We shouldn't plan another day
the day is here to make it all clear
Never we should not surrender
The silence, the desire blinded by our fears
When faith carries our dreams
So secretly, intensively, passionately...
Tomorrow is a lie
Time only stands for here and now
What you see passing by
Is your only chance to fly.
Tomorrow is a lie
No matter what your dreams are
You cannot wait in line
Today is the day, believe in what you say
Always keep your heart in action
Walk your life through passion
Think about the dream
We are what we think
Always do things with devotion
Your feelings are emotion
Shining like a spread through and inside your hair
Intensively, passionately, evidently...
Tomorrow is a lie
Time only stands for here and now
What you see passing by
Is your only chance to fly.
Tomorrow is a lie
No matter what your dreams are
You cannot wait in line
Today is the day, believe in what you say
Tout, tout
Tout est fini entre nous, tout
J'ai plus la force du tout, tout
d'y croire et d'espèrer
Tout, tout
A présent, je te dis tout
De ce vide entre nous
De tes mains désabusées
Tout, tout ce qui nous unit
Tout ce qui nous détruit au corps
Est à présent fini
Tout ces moments incompris
Ces instants indécis s'écrivent
Au passé aujourd'hui...
c'est fini...
Nous, on était pas comme les autres,
On décidait d'être entre autre
Les plus forts, les plus fous
Nous on avait rien à prouver
Nous on avait rien à gâcher
Sauf notre liberté
Nous, on n'a rien vu passer
Rien vu se déchirer
Pas même la force de ces années
Nous, on a joué le tout pour le tout
On s'est dit on s'en fout
On a l'univers rien qu'à nous
On a tout
Sors, sors
De mon sang, de mon corps
Sors, toi qui me gardes encore
Au creux de tes regrets
Parle, parle
Dis-le moi sans trembler
Que t'en as plus rien à cirer
Parle, pleure et je comprendrai
Tu sais, tu sais que je peux tout entendre
Partir rester ou même me rendre
Que le ciel là-haut m'entende
Tout, tout, tout est fini entre nous,
J'ai plus la force du tout d'y croire et d'espèrer
Tout, tout, tout est fini entre nous,
mais je garde l'espoir fou qu'un jour
on redira
Nous...
Every night every day
I tell my heart to forget you and to move away
Not to break anymore
But, oh, no matter
What I say
Youre so deep in my mind
Theres no way to leave this love behind
It used to be
I believe I could go on and find someone to
Rest upon anyone, anyone
Soon I found
There was no other
There you are
Framed against the sky
You are my life and I pray for when
You will be mine
To love again
I see the rain in the sky
And I see your face
Through every tear that I cry
Whith every breath and every sound
I can hear another voice and swear that youre around
And every word is clear
cause I know
The memory wont let go
Until youre mine
To love again
Whos to say what lives in the past
Whos to say that love wont last
Times been standing still
Waiting so patiently until
Until that one day when
When I will have you
To love again
And there you are
Framed against the sky
You are my life
And I pray for when
You will be mine
To love again
Translation:
Si tu maimes
Je le sens, je le sais
Quand tas mal lautre bout de la terre
Quand tu pleures pendant des heures
Sur mon coeur je pourrais hurler
Le jurer mme si je ne vois rien
Do je suis je sens ton chagrin
Quand je me vois
Sans tes mains
Sans tes bras je ne peux plus respirer
Et jentends si souvent
Le chant du vent
Qui vient pour me ramener
Vers tes landes sous ton ciel dirlande
Quitter ma vie sans pravis
Je le ferais si tu maimes
Mme si jai tort
Tout est plus fort
Que la raison tout est plus fort que ton nom
Que je redis que jcris sans arrt
Sur les crans de ma vie
Et jespre que chacunes des aurores
Que je vois me mnera ton corps ... Read more »
Chissà quanto sarà...
Un’ora, chi lo sa?
Forse solo un minuto.
Da quando guardi me,
Il tempo sembra che
Scompari in assoluto.
Avvicinandomi
sento la febbre che
sale come corre una fiamma.
Toccami! Passa! Bruciami la pelle
Toccami ancora!
Parlami una lingua strana
che solo sia capita da me...
Chissà da dove viene
la sensazione che
arrivi un’altra vita.
Io conoscevo te,
Ma non sapevo se
Ci avrebbe riuniti.
Questo destino che
Balla davanti a noi
L’ultimo passo
di un amore.
Toccami! Non lasciare fare il vento!
Prendimi la mano!
Toccami! Fai l’amore con il tempo!
Sfidalo, scongiuralo, se puoi...
Toccami! Passa! Bruciami la pelle
Toccami ancora!
Parlami una lingua strana
che solo sia capita da me...
Elle descendait d'un train du sud au nord
Elle n’avait jamais quitté son île encore
La Sicile était son rivage
Et la famille son paysage
La mer et le volcan ses seuls trésors
Il l'attendait dans le froid seul sur le quai
Comme un ami, un frère pour l'escorter
Et même s'il ne parlait pas sa langue
Ils se comprenaient comme on tremble
Quand on sait que le destin vient de passer
C'est une belle histoire
Née d'un roman rose et noir
Tout les sépare
Même le hasard
Ils regardaient la vie comme un chemin
Où l’on ne se perd qu’en se lâchant la main
Bien que les nuits aient été plus froides
Que leurs chaleureuses engueulades
Ce qui les unit éloigne leur chagrin
C'est une belle histoire
Née d'un roman rose et noir
Tout les sépare
Même le hasard
Ma plus belle histoire
Je suis née dans leurs regards
remplis d'espoir
Sperenza
Mais qu'est ce que je fous là
Je sombre au fond de toi
Quelle heure est t-il et quel feu me noie
Fait-il noir ou clair, je n'sais pas
Ma peau se colle au rouge de ton sang qui bouge
Et qui coule vers moi
Je danse et je me bats
Et j'enroule mes chevilles autour de toi
Mes jambes se plient
Je contourne tes hanches
Sur mes reins se joue ta revanche
Je prie en vain mais toi tu rie, une soif s'assouvit
Je danse ou je me bats
Je n'sais pas, je n'sais pas
Tango mi amor
Tu me fais mal et mon sort
Est le bien qui me dévore
Quand mon corps se tord
Tango mi amor
Animal ou matador
L'un de nous deux est le plus fort
Quand mon corps se tord
Mais le doute s'installe
Je me sens comme en cavale
La vie me pousse dans la course
Mon corps qui te repousse
Tes gestes me rappellent que tu n'as pas sur moi
Le droit que je te dois,
je danse et je me bats
Mais comment dire à qui, à quoi, à qui je suis
Quand de n'appartenir qu'à toi est le défi
Et si je te disais qu'il n'y a pas que toi
Je danse et tu te bats
Je danse et tu te bats
Tango mi amor
Tu me fais mal et mon sort
Est le bien qui me dévore
Quand mon corps se tord
Tango mi amor
Animal ou matador
L'un de nous deux est le plus fort
Tango mi amor
Tango mon corps
Ne t'appartient pas encore
Et si mon âme s'en sort
Mon corps, lui, se tord
J'avais dans mon cœur tant de larmes
Plus envie de vivre un seul jour
J'avais dans ma vie tant de drames
Je ne voulais plus être en amour
Il est arrivé plein de charme
Dans un sourire qui dit bonjour
Il avait les mots qui désarment
J'avais tellement besoin d'amour
Simplement, doucement
Il est entré dans mon cœur
Simplement, doucement
Il m'apprenait le bonheur
Il suffisait de peu de choses
Pour qu'à nouveau j'aime la vie
Que dans ma main sa main se pose
Pour que je l'aime à la folie
Pour lui j'ai déposé les armes
J'ai envie de l'aimer toujours
Ces rires ont remplacé mes larmes
J'avais tellement besoin d'amour
Simplement, doucement
Il est entré dans mon cœur
Simplement, doucement
Il m'a donné le bonheur
Simplement, doucement
Il est entré dans mon cœur
Simplement, doucement
Je l'aime tout simplement
Et moi je l'aime tout simplement
Tu peux trouver tous les trésors de guerre
Tu peux louer tous les châteaux du monde
Tu peux avoir tout l'argent de la terre
Et même les œufs que les poules d' or pondent
Mais tu n'as rien
Qui me fera voter pour
Si tu n'as pas d'amour
Tu peux avoir les yeux comme des grand phares
La peau bronzée comme le sable en été
Un humour à l'épreuve des cafards
Ou le sourire d'une star de ciné
Mais tu n'as rien
Qui me fera voter pour
Si tu n'as pas d'amour
Si tu n'as pas d'amour
Tu me fera jamais jamais
Jamais voter pour
Arrête de faire le sourd
T'es lourd, trop lourd
Tu peux baigner dans des milliers d'affaires
Être un fidèle tireur d'élite
Me réciter par cœur le dictionnaire
Être le plus fort au trivial poursuite
Mais tu n'as rien
Qui me fera voter pour
Si tu n'as pas d'amour
Si tu n'as pas d'amour
Tu me fera jamais jamais
Jamais voter pour
Arrête de faire le sourd
T'es lourd, trop lourd
Tu peux aller chez l' plus grand couturier
Te parfumer aux essences les plus rares
Avoir la démarche d'un top model branché
Changer de lunette pour mieux changer de regard
Mais tu n'as rien
Qui me fera voter pour
Si tu n'as pas d'amour
Si tu n'as pas d'amour
Tu me fera jamais jamais
Jamais voter pour
Arrête de faire le sourd
T'es lourd, trop lourd
J'ai tant appris
De ces moments de détresse
Et si j'ai grandi
C'est au prix de la forteresse
Où dorment les rêves
Un peu trop fous
Je rêve mieux depuis
Ce qui m'a aidée
C'est pas vraiment ce qui blesse
Mais plutôt le bruit
Qui nous guette quand ce qui reste
Est un défi
Qui remplit l'espace
Qu'aucun mot ne remplace
Le silence
C'est l'ami tout au fond d'un regard
Qui nous crie ce qu'on ne veut pas voir
Une dernière chance
Alors que l'on s'égare
En silence
On est demain
Soudain j'entends quelques pas
Pourtant y a plus rien
Enfin y a plus rien que moi
Et là j'ai compris
Qu'il est parti
En me laissant ce cri
Le silence
C'est l'ami tout au fond d'un regard
Qui nous crie ce qu'on ne veut pas voir
Une dernière chance
Alors que l'on s'égare
Le silence
Qui nous laisse au bout de ce couloir
Qui nous regarde dans ce miroir
Et qui reprend sa place
Quand on se refait face
En silence
Le silence
C'est l'ami tout au fond d'un regard
Qui nous crie ce qu'on ne veut pas voir
Une dernière chance
Alors que l'on s'égare
En silence...
En silence
Et
quand nos regrets
Viendront danser
autour de nous
nous rendre fous
Seras-tu là ?
Pour
nos souvenirs (nos souvenirs)
Et nos amours
inoubliables
inconsolables
Seras-tu là ?
Pourras-tu suivre (Pourras-tu suivre )
là ou je vais ? (là ou je vais ?)
Sauras-tu vivre (Sauras-tu vivre )
le plus mauvais ?
La solitude
le temps qui passe
Et l'habitude
regardes-les
Nos ennemis
Dis-moi que oui (A-a-ah)
Dis-moi que oui
Dis-moi que oui
Dis-moi que oui
Dis-moi
que oui
Quand
tous nos secrets
n'auront plus cours
Et quand les jours
auront passé
Seras-tu là?
Pour, (pour)
pour nos soupirs (soupirs)
sur le passé
Que l'on voulait
que l'on rêvait
Seras-tu là?
Pourras-tu suivre (Pourras-tu suivre)
là ou je vais ? (là ou je vais ? )
Sauras-tu vivre (Sauras-tu vivre)
le plus mauvais ?
La solitude
le temps qui passe
Et l'habitude
regardes-les
Nos ennemis
Dis-moi que oui (ô dis moi)
Dis-moi que oui
Dis-moi, dis moi que oui
Dis-moi que oui
Oui
Dis-moi que oui
Dis-moi que oui (ô)
Seras-tu là?
Pourras-tu suivre (Pourras-tu suivre)
là ou je vais ? (là ou je vais ?)
Sauras-tu vivre (Sauras-tu vivre)
le plus mauvais ?
La solitude
le temps qui passe
Et l'habitude
regardes-les
Nos ennemis
Dis-
... Read more »
Je le sens
Je le sais
Quand t'as mal à l'autre bout de la terre
Quand tu pleures pendant des heures
Sur mon coeur je pourrais hurler
Le jurer míme si je ne vois rien
D'o¨´ je suis je sens ton chagrin
Quand je me vois
Sans tes mains
Sans tes bras je ne peux plus respirer
Et j'entends si souvent
Le chant du vent
Qui vient pour me ramener
Vers tes landes sous ton ciel d'irlande
Quitter ma vie sans préavis
Je le ferais si tu m'aimes
Míme si j'ai tort
Tout est plus fort
Que la raison tout est plus fort que ton nom
Que je redis que j'écris sans arrít
Sur les écrans de ma vie
Et j'espère que chacunes des aurores
Que je vois me mènera à ton corps
Je quitterai tout si tu m'aimes
Je sais que je n'me trompe pas
Que quelque part au loin là-bas
Tu penses encore à moi
Tu m'as gardé dans tes bras
Une place, un ébat
Dis-le moi tout bas que tu m'aimes
Que tu m'aimes...
Je le sens
Tu penses encore à moi
Je le sais, tu m'as gardé tes bras
Dis-le moi
Que tu m'aimes...
Quelles que soient tes peurs
Quelles que soit la raison de tes pleurs
Quelle que soit la peine
Qui a envahi ton cœur
Quelles que soient les chances
Que tu n'as pu retenir
Quelle que soit l'enfance
Où tu as dû grandir
Tu dois
Saisir le jour
Laisser la vie suivre son cours
Choisir l'amour
Qui t'appelle à ton tour
Si hauts sont les murs
Qui te retiennent et qui t'offensent
Si longues les chaînes
Qui te volent ton existence
Quelle que soit l'absence
Que t'as dû subir
Qu'importe ce silence
A quoi bon te mentir
Saisir le jour
Laisser la vie suivre son cours
Choisir l'amour
Qui t'appelle à ton tour
Là dans ton regard
Il y a des mots dont tu ne sais rien
Mais aussi l'espoir
Que ne sera pas en vain
Et la vérité qui a guidé
Toutes nos années
Garde au creux de toi
Le souvenir d'une vie trépidante
Tu retrouveras
La chaleur des mains absentes
Malgrés leurs blessures
Nos cœurs n'ont pas revêtu d'armure
On ne se quitte pas,
On part comme on partait parfois
Dépassées déjà les lumières d'autrefois
Ma vie est une histoire d'amour
Qui s'est donnée à toi
Sans regret, sans pourquoi
Rien n'est impossible,
Ni le temps, ni l'espoir, ni l'avenir
Nous nous trouverons debout
Derrière un sourire
Et nous serons prêts
à revenir ensembles et vieillir
On ne se quitte pas,
On part comme on partait parfois
Dépassées déjà les lumières d'autrefois
Ma vie est une histoire d'amour
Qui s'est donnée à toi
Sans regret, sans pourquoi
Rien n'est impossible,
Ni le temps, ni l'espoir, ni l'avenir..
Inexplicable
Ce chemin de travers que
Tend la destin pour nous surprendre
Presqu'improbable
Pourtant je suis assise
À table l'on sert le vin de Dieu
Fait d'une terre, d'un ciel amoureux
Un vrai moment d'étoile
C'est instant boréal
Où l'on sent que le vent
Tourne et prend la neige par la main
Détournant son chemin
Pour ouvrir un grand lendemain...
Soirées givrées
Comme un précis sur papier
Parfois l'autre sort ressuscité
Discours intense
Accordes-moi cette danse
Le prince perdu a fait son entrée
Un diamant se pose comme un secret
Un vrai moment d'étoile
C'est instant boréal
Où l'on sent que le vent
Tourne et prend la neige par la main
Détournant son chemin
Pour ouvrir un grand lendemain
Un vrai moment d'étoile
C'est instant idéal
Où l'on entend le chant des sirènes
Ramenées vers la terre
Un navire éphémère
Un souvenir immortel...
Il n'y a vraiment plus rien qui te retienne
La couleur de ce destin n'est plus la tienne
Et ce qui te tend les mains en vaut la peine
Il te faudra te choisir cette fois
D'hier il n'y a que le bien que tu emmènes
Bien que tu sois loin déjà, encore s'éteignent
Les feux allumés par tes envies soudaines
De n'être qu'à toi ce que tu n'osais pas
Et s'en aller
Comme on s'égare pour mieux recommencer
Le moment est arrivé
Et s'en aller
Comme on revient
Comme on revient vers soi enfin
D'une histoire à l'autre tu changeais de repères
Comme si le Soleil tournait autour de la Terre
Et depuis que tu vis ta vie à ta manière
Tu te reçois 5 sur 5 cette fois
Et s'en aller
Comme on s'égare pour mieux recommencer
Le moment est arrivé
Et s'en aller
Comme on revient
Comme on revient vers soi enfin
Et s'en aller
Comme on s'avoue que vivre à commencer
C'est le moment de vérité
Et s'en aller
Comme on revient vers soi
Il fallait une moitié de vie
Pour arrêter de retenir
La force qui pousse l'autre demie
A tout changer, à te redevenir
Et s'en aller
Comme on s'égare pour mieux recommencer
Le moment est arrivé
Et s'en aller
Comme on s'avoue que vivre à commencer
C'est le moment de vérité
Et s'en aller
Comme on s'égare pour mieux recommencer
C'est le moment de vérité
Et s'en aller
Comme on revient
Comme on revient vers soi enfin 
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Même si de toi, je n'ai plus qu'un ami
Même si je m'endors
Dans des draps sans nuit
Même si je te sens tout prêt
Des bons moments du passé
Je veux rester seule
Même si le temps se pose sur mes doutes
En cherchant à me faire changer de route
Puisque l'amour lui, n'est plus
Que promesses mal tenues
Je veux rester seule à côté de moi
Plus une seule larme
Pour me battre contre toi
Plus une seule larme
Pour pleurer quand tu n'es pas là
Tu ne verras dans mes yeux
Qu'un feu qu'il faut craindre
Quand il n'y a plus de larme pour l'éteindre
Je sais qu'il me faut apprendre à compter jusqu'à un
Mais j'espère un jour
Pouvoir compter sur quelqu'un
Qui me donnera l'envie
D'oublier que tu m'as menti
Pour ne plus être seule à côté de moi
Plus une seule larme
Pour me battre contre toi
Plus une seule larme
Pour pleurer quand tu n'es pas là
Tu ne verras dans mes yeux
Qu'un feu qu'il faut craindre
Quand il n'y a plus de larme pour l'éteindre
Je vous préviens n'approchez pas
Que vous soyez flic ou badaud
Je tue celui qui fait un pas
Non, Je ne ferai pas de cadeau
Et éteignez tous ces projecteurs
Et baissez vos fusils braqués
Non, je ne vais pas m'envoler sans elle
Dites au curé, dites au pasteur
Qu'ailleurs ils aillent se faire pendre
Le diable est passé de bonne heure
Et mon âme n'est plus à vendre
Si vous me laissez cette nuit
À l'aube je vous donnerai ma vie
Car que serait ma vie sans lui
Je n'étais qu'un fou mais par amour
Elle a fait de moi un fou, un fou d'amour
Mon ciel s'était ses yeux, sa bouche
Ma vie s'était son corps, son corps
Je l'aimais tant que pour la garder je l'ai tuée
Pour qu'un grand amour vive toujours
Il faut qu'il meure qu'il meure d'amour
Le jour se lève la nuit pâlit
Les chasseurs et les chiens ont faim
C'est l'heure de sonner l'hallali
La bête doit mourir ce matin
Je vais ouvrir grand les volets
Crevez-moi le cœur je suis prête
Je veux m'endormir pour toujours
Je n'étais qu'un fou mais par amour
Elle a fait de moi un fou, un fou d'amour
Mon ciel s'était ses yeux, sa bouche
Ma vie s'était son corps, son corps
Je l'aimais tant que pour la garder je l'ai tuée
Je ne suis qu'un fou, tu n'es qu'un fou, un fou d'amour
Un pauvre fou qui meurt
Qui meurt d'amour
Black dans la peau, dans les mots
Le cœur
T'entends des choses qui t'font mal
Au cœur
Des mots idiots qui voudraient
Changer ta couleur
Tu chantes haut
T'essayes de cacher ta douleur
En silence
Tu chantes le blues
Enchaîné par la différence
En cadence
Un rythme fou s'éveille
Du gospel dans la voix
Réveille-toi brother!!!
Réveille-toi brother, réveille-toi brother
On dit de toi
Que pour toi c'est facile
Moi j'sais que sans toi
Plus de soul
De soul dans les villes
Même le cœur des églises
Vibre au son de ta voix
Et quoi qu'on n'en dise
Ta musique noire est toujours là
En silence
Tu chantes le blues
Enchaîné par la différence
En cadence
Un rythme fou s'éveille
Du gospel dans la voix$D
Réveille-toi brother
Comment as-tu pu me laisser partir
Pourquoi n'as-tu pas pu me retenir
Comment as-tu pu laisser mes yeux te fuir
Si loin de ton âme et de ta chaleur
Ma vie déséquilibrée sans couleurs
Où sont toutes ces heures passées
Aux bord des mots de la peau
Si jamais je me perds
Dans d'autres yeux plus clairs
Si je tombe sans pouvoir
M'arrêter
Ramène-moi vers ton destin
Ramène-moi jusqu'à tes mains
Celles qui m'ont fait mourir un soir
Il n'est jamais trop tard
Emmène-moi comme si c'était
La première fois que tu m'aimais
Je revivrai sans me lasser
Ces moments enlacés
Pourquoi doit-on croire à toutes ces histoires
D'amour qui n'ont pas connu la gloire
Je veux être la dernière à oublier les mots
Qu'il faut...
Si jamais tu me vois
Perdue dans d'autres bras
D'un autre que toi
N'y crois pas
Ramène-moi vers ton destin
Ramène-moi jusqu'à tes mains
Celles qui m'ont fait mourir un soir
Il n'est jamais trop tard
Emmène-moi comme si c'était
La première fois que tu m'aimais
Je revivrai sans me lasser
Ces moments enlacés
Réinvente-moi une histoire
Que je suis seule à croire
Ramène-moi tes délires ce soir
Quand je ne chante pas
Je suis comme vous
Je suis comme ça
Une épouse, une mère
Une femme ça doit tout savoir faire
Quand je ne chante pas
Ma vie se branche sur la terre
Même si le ciel se rit de moi
Chanter c’est tout ce que je sais faire
Je marchais dans la rue
M’installais aux terrasses
Croisais des inconnus
Leur faisais une place
J’écoutais leurs histoires
Ils connaissaient la mienne
Sur un simple regard
Nos vies sont toutes les mêmes
La sortie de l’école
Nos enfants qui accourent
Mais tous leurs mots s’envolent
Et leurs rires sonnent sourds
Quand l’echo du silence est votre seul allié
C’est l’ennemi qui danse pendant que vous pleurez
Quand je ne chante pas
Je suis comme vous
Je suis comme ça
Une épouse, une mère
Une femme ça doit tout savoir faire
Quand je ne chante pas
Ma vie se branche sur la terre
Même si le ciel se rit de moi
Chanter c’est tout ce que je sais faire
Chanter
En pleine lumière
Chanter
Quand on est fait pour ça
Livrer son âme rien d’autre
Il faut garder la foie
Nos cœurs l’un contre l’autre
Trouver dans cette vie
Tous nos petits bonheurs
Mais est-ce que ça suffit
Pour faire passer les heures
Quand je ne chante pas
Je suis comme vous
Je suis comme ça
Une épouse, une mère
Une femme ça doit tout savoir faire
Quand je ne chante pas
Ma vie se branche sur la terre
Même
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À petits pas je sors de mes joies
De ce double tiroir
Cachés par moi, quelques secrets
Belles et moins belles histoires
J'étais celle au feu rebelle
Que j'étais belle quand j'aimais...
Où suis-je passée ?
Illusion ou déraison,
Faites vos jeux, j'ai fait
Je me revois, blessée parfois
Pire, oui, bien pire que ça
Trahie, traquée par ce faux moi
Hypnotisée sans foi
Entre celle qui s'ensorcèle
Et celle qui traîne ses pauvres ailes
J'ai choisi le froid
Illusion ou déraison
Plus de braise pour moi
Pourtant là dans ce tiroir
Brillent tous les soirs d'antan
Où l'ère de l'air insufflait
Les voeux plus ardents
Où j'étais sur du vent
Non du mauvais temps
Tu sais plus pourquoi t'es là
Si tu t'ressembles ou pas
T'oublies même de rêver la nuit
Tu téléphones aux hommes
Qui t'ont chanté la pomme
Tu t'prends à envier tes amis
Et tu t'demandes ce que tu fous là
Si repeindre ta chambre
Changerait tout ça
Pourquoi pas l'exotisme?
Mets un maillot sympa
Prends le ton air d'actrice en vacances
Pourquoi pas?
Pourquoi pas l'exotisme?
L'Express San Francisco
Oouvre les yeux
Pourquoi faner dans ce ghetto
Pourquoi faner pourquoi faner pourquoi faner
Lentement tu désespères
Tu t'perds dans ce désert
Entre un ordi et l'ordinaire
Tu d$9chaînes tes colères
Quand tu t'ramasses à terre
La galère n'a rien pour te plaire
Et tu tangues au beau milieu
De cette ville qui flanche
C'est quoi que tu veux?
Pourquoi pas l'exotisme?
Mets un maillot sympa
Prends le ton air d'actrice en vacances
Pourquoi pas?
Pourquoi pas l'exotisme?
L'Express San Francisco
Oouvre les yeux
Pourquoi faner dans ce ghetto
Pourquoi faner pourquoi faner pourquoi faner
Oh, mais t'es si belle dans la tête
Même tes yeux
Sont le reflet d'une vie en fête
Oh, tu peux t'en aller
Sur une île du Pacifique
Pourquoi pas l'exotisme?
Et tu tangues au beau milieu
De cette ville qui flanche
C'est quoi tu veux?
Pourquoi pas l'exotisme?
Mets un maillot sympa
Prends le ton air d'actrice en vacances
Pourquoi
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Et ton visage au bout des doigts
Je prends la forme de l'avenir
C'est un chemin tout droit
C'est un grand sourire
On n'a rien à perdre même si l'inconnu
Peut nous surprendre au coin de la rue
Puisque c'est l'amour
Prenons l'amour
Comme on prendrait le droit de vivre
Et si c'est un rêve
Faisons d'un rêve
La réalité d'aimer
De flamme ou de pluie
De corps ou d'esprit
Et sans jamais compter les jours
De joies et de peine
Prenons ceux qui viennent
Puisque c'est l'amour
S'il y a des pierres sur le chemin
Il suffira de leur parler
De les prendre en mains
Les apprivoiser
On a vu des pierres se changer en or
Des cailloux devenir des trésors
Quand l'un s'en ira
L'autre l'attendra
On s'aimera chacun son tour
Les coeurs se reprennent
Au bord de la haine
Puisque c'est l'amour
Oh...même les blessures s'effacent
Les heures brisées se remplacent
Vouloir...il suffit de vouloir
Non rien n'est classé
Ni rompu, ni perdu
Tant qu'on a gardé l'espoir
De flamme ou de pluie
De corps ou d'esprit
Sans jamais compter les jours
De joies et de peines
Prenons ceux qui viennent
Quand l'amour est là
Sèche tes pleurs
Je ne partirai pas
Il m'en faudrait bien plus que ça
Pour tou détruire, anéantir, pas ça
Sèche tes pleurs
Et refais-moi l'amour
Te souviens-tu de cet enfant
Que tu voulais m'faire en chantant
Je t'aime encore si fort..non
Pas sans toi
Je ne la vivrai pas cette vie là
Si tu me reprenais dans tes bras
On pourrait reconstruire tout ça
Non non non
Pas sans toi
Ce serait comme renier ma vie
Ce serait comme étouffer un cri
Si j'ai tort éloignes-toi
Si tu m'aimes attends moi
Sèche tes pleurs
Le temps nous attendra
Nous nous sommes perdus dans tout ça
Il n'y a plus d'raisons d'avoir peur, je crois
Sèche tes pleurs
On est tellement plus fort
Que toutes ces heures, tous ces remords
On s'oubliait, on avait tort
Je t'aime encore si fort...non
Refrain
Sèche tes pleurs
Refais-moi ce sourire
Celui qui ne fait pas vieillir
Ni mon âme ni mon corps
Je t'aime encore...si fort
E adesso andate via
Voglio restare sola
Con la malinconia
Volare nel suo cielo
Non chiesi mai chi eri
Perche sceglesti me
Me che fino a ieri credevo fossi un re
Perdere l'amore, quando si fa sera
Quando fra i capelli un po d'argento li colora
Rischi d'impazzire, puo scoppiarti il cuore
Perdere l'amore e avere voglia di morire
Lascia mi gridare rinegare il cielo
Prendere a sassate tutti i sogni ancora in volo
Li faro cadere ad uno ad uno
Spezzero le ali del destino
E ti avro vicino
Comunque ti capisco
E ammetto che sbagliavo
Facevo le tue scelle
Chissa che pretendevo
Adesso che rimane
Di tutto il tempo insieme
Una donna troppo sola
Che anchora ti vuol bene
Perdere l'amore, quando si fa sera
Quando sopra il viso, c'e una ruga che non c'era
Provi a raggionare fai l'indifferente
Fino a che ri accorgi che non sei servira a niente
E vorresti urlare, soffocare il cielo
Sbattere la testa mille volte contra il muro
Respirare forte il suo cuscino
Dire e tutta colpa del destino
E ti avro vicino
Perdere l'amore, maledetta sera
Che raccoglie i cocci di una vita immaginaria
Pensi che domani e un giorno nuovo
Ma ripeti non me l'aspettavo
Prendere a sassate tutti i sogni ancora in volo
Li faro cadere ad uno ad uno
Spezzero le ali del destino
E ti avro vicino
Perdere l'amore
Apprivoise-moi,
Mélangeant nos corps tendus
Apparait en moi
Illusion à cœur perdu
Abandonner le choix
Se donner le droit
De ne rien attendre
Ne rien comprendre des vieux combats
Imaginer l’incroyable secret
Et tant espérer
Putain de grand amour !
Prends garde à toi, garde à moi
Si tu ne viens pas
J’irai te débusquer
Prends garde au temps, garde au vent
Qui te chassera
Vers moi
Accompagne-moi
Loin de tout
Ce que je crois
Acoquine-toi
Couche-moi sous tes genoux
Enivre-moi de doutes
Pare-moi la route
Laisse-moi partir, me découvrir en pleine déroute
Et lorsqu’enfin
Ma peau te revient
Nourris-moi de ce
Putain de grand amour
Prends garde à toi, garde à moi
Si tu ne viens pas
J’irai te débusquer
Prends garde au temps, garde au vent
Qui te chassera
Vers moi
Alma negra
No me dejes
Te voy a matar
Amar
Prends garde à toi, garde à moi
Si tu ne viens pas
J’irai te débusquer
Prends garde au temps, garde au vent
Qui te chassera
Vers moi
Tout ne rime à rien quand on n'a même plus peur
Toutes les raisons de rester sont les leurres
Rien ne te retient, surtout pas le bonheur
Que tu ne cherches plus,
C'est plus l'heure
Je suis là pour ne pas regretter l'absence
Des mots et des liens qui empêchent le silence
Dis-moi s'il te plaît ce qu'on verra trop tard
Le dernier aveu est-il ce regard?
Parce que tu pars
Parce que tu pars
On restera brisé devant l'irréparable
Parce que tu pars
Parce que tu pars
On étreindra tout contre soi l'intolérable
Parce que tu pars
Jure-le que cet échec
N'est pas ton avenir
Ce qui t'aura pris la tête
Oublie-le pour te choisir
Et si tu veux bien
On cassera la gueule
A ce coup du destin
Qui rend seul
Parce que tu pars
Parce que tu pars
On restera brisé devant l'irréparable
Parce que tu pars
Parce que tu pars
On étreindra tout contre soi l'intolérable
Parce que tu pars, parce que tu pars
Parce que tu pars, parce que tu pars
On questionnera chaque journée inévitable
Parce que tu pars, parce que tu pars
On étreindra tout contre soi l'intolérable
Parce que tu pars, parce que tu...
O.K. ...
il n'y avait rien à faire
O.K. ...
Dans cette ville étrangère
O.K. ...
tu étais solitaire
O.K. ...
j'avais l'cœur à l'envers
O.K. ...
tout ça n'était qu'un jeu
O.K. ...
on jouait avec le feu
O.K. ...
on s'est pris au sérieux
O.K. ...
le rire au fond des yeux
Nuit magique
Une histoire d'humour qui tourne à l'amour
Quand vient le jour
Nuit magique
On perd la mémoire au fond d'un regard
Histoire d'un soir
Nuit magique
Si loin de tout sans garde-fou
Autour de nous
Nuit magique
Nuit de hasard on se sépare
Sans trop y croire
O.K. ...
c'est une histoire de peau
O.K. ...
on repart à zéro
O.K. ...
on oublie aussitôt
O.K. ...
qu'on s'est tourné le dos
Il m’embrasserait sur la joue,
N’apprécierait pas la musique
Pour tout le reste il saurait tout,
Je tiendrais une place unique
Dans sa vie, je lui dirais «vous»,
Je l’appelerais quelque fois:
«Assez de voir passer les anges»,
Je lui dirais n’importe quoi,
Je lui dirais: «Je vous dérange»,
Alors il sourirait de moi
On s’aimerait tout bas, en ami,
à distance
On s’aimerait en silence comme on joue, сomme
on danse
Comme on pleure quelque fois quand on pense
à personne
Et que personne ne pense qu’on a ce chagrin-là.
On s’aimerait tout bas, en ami,
à distance
On s’aimerait en silence comme on joue, comme
on danse
Comme on pleure quelques fois quand on pense
à personne
Et que personne ne pense qu’on a ce chagrin-là…
Ce chagrin-là
On se fâcherait pour de faux,
Sur un détail plein d’importance
Ça durerait le temps qu’il faut
pour que reviennent nos confidences
Et j’oublierais tous ces défauts
On se croiserait quelque part
au milieu de nos tours de terre
On remercierait le hazard
Il aurait le talent de taire
Ce qui l’est le seul à savoir
On s’aimerait tout bas, en ami,
à distance
On s’aimerait en silence comme on joue, comme
on danse
Comme on pleure quelque fois quand on pense
à personne
Et que personne ne pense qu’on a ce chagrin-là.
On s’aimerait tout bas, en ami, à distance
On s’aimerait en silence comme
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Let’s try to make a plan
To save a children’s Earth
How can we change our minds
And stop this madness?
Today is our last chance
To keep a planet safe
Power and money
Will not follow us to the grave
Hey Mr. President
How will you save your loved ones from this now?
Tell me now «Yes, we can»
«Yes, we can»
Hey Mr. president
How will you make your mother proud and safe
Change and make history?
Music is all I have
To ride and hold you charmed
Will you hear every note
I say to your heart?
Tell me how can we help
To make a better day?
You know I just cannot help
Believing in what you say
Hey Mr. President
How will you save your loved ones from this now?
Tell me now «Yes, we can»
«Yes, we can»
Hey Mr. president
How will you make your mother proud and safe
Change and make history?
The situation is serious
Everywhere around the planet
We need to raise all voices
We need to change all minds
Temperature’s rising
Winters are getting longer
Who cares?
Well, I do.
Maybe you do too?
It’s not for me or you
It’s for all children, our children.
Hey Mr. President
How will you save your loved ones from this now?
Tell me now «Yes, we can»
«Yes, we can»
Hey Mr. president
How will you make your mother proud and safe?…
Pour sortir d'un tout qui n'est rien
Il prend son courage par la main
En découvrant le mal
Qu'elle lui faisait pour son bien
Il a perdu tous ses reves en chemin
Sans etre ni frere ni ami
Ils s'étaient promis toute une vie
Elle voulait lui faire un enfant
C'était du faux, c 'étais du vent
Elle inventait la vérité
Il se déchire comme du papier
Ne lui parlez plus d'elle
elle est encore dans les regard
qui se mélangent dans son miroir
oubliées les images
et toutes ces femmes infidéles
il voudrait tellement qu'elle ne soit
qu'une souris parmis les chats
dans cette vie,
ne lui parlez plus d'elle
a présent, le passé se meurt
les regrets ne tuent pas les heures
il n'existe pas une armure
qui puisse empecher les blessures
il faut éloigner le silence
pour qu'il retrouve sa confiance
Ne lui parlez plus d'elle
elle est encore dans les regards
qui se mélangent dans son miroir
oubliées les images
Non, plus jamais il ne laissera
son envie d'aimer etre seul maitre
non, plus jamais il ne l'oubliera
mais il apprendra qu'on peut renaitre
Ne lui parlez plus d'elle
elle est encore dans les regard
qui se mélangent dans son miroir
oubliées les images
et toutes ces femmes infidéles
il voudrait tellement qu'elle ne soit
qu'une souris parmis les chats
dans cette vie,
ne lui parlez plus d'elle
À m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
Et regarder les gens tant qu'y en a
Te parler du bon temps
qu'est mort ou qui reviendra
En serrant dans ma main tes petits doigts
Pis donner à bouffer à des pigeons idiots
Leur filer des coups d'pieds pour de faux
Et entendre ton rire
qui lézarde les murs
Qui sait surtout guérir mes blessures
Te raconter un peu
comment j'étais mino
Les bonbecs fabuleux
qu'on piquait chez l'marchand
Car-en-sac et Minto,
caramel à un franc
Et les mistrals gagnants
À remarcher sous la pluie
cinq minutes avec toi
Et regarder la vie tant qu'y en a
Te raconter la Terre en te bouffant des yeux
Te parler de ta mère un petit peu
Et sauter dans les flaques
pour la faire râler
Bousiller nos godasses et se marrer
Et entendre ton rire comme on entend la mer
S'arrêter, repartir en arrière
Te raconter surtout les carambars d'antan
et les cocos bohères
Et les vrais roudoudous
qui nous coupaient les lèvres
Et nous niquaient les dents
Et les mistrals gagnants
A m'asseoir sur un banc cinq minutes avec toi
Et regarder le soleil qui s'en va
Te parler du bon temps
qu'est mort et je m'en fous
Te dire que les méchants c'est pas nous
Que si moi je suis barge,
ce n'est que de tes yeux
Car ils ont l'avantage
d'être deux
Et entendre ton rire s'envoler aussi haut
Que s'envolent les cris des oiseaux
Te raconter enfin
qu'il faut aimer la vie ... Read more »
J'aime son désir
J'aime son délire
J'aime sa voix lente
Ses mains qui tremblent
J'aime son visage
Posé sur les plages
De mes jouets secrets
D'aventure en immatures
Intenses et vrais bonheurs
J'aime mon désir
J'aime mon délire
Pour lui
C'est un soleil, un éternel
Un être étrange à la peau d'ange
J'aime son désir
J'aime son délire
Pour moi
Milles nuits sans jours
Sécrètent l'amour
Que l'on défait et se fait toujours
Cachés sous le voile
D'un million d'étoiles
En silence on se respire...
Deux ames blessées
Ressuscitées par ces gestes pures
On se laisse aimer
Délivrés de l’armure
Poussent les ailes, guérissent
Celles qu’on avait brisées, replies
Tout ce désire
Et ce grande délire
C'est toi
Au bout du téléphone, il y a votre voix
Et il y a des mots que je ne dirai pas
Tous ces mots qui font peur quand ils ne font pas rire
Qui sont dans trop de films, de chansons et de livres
Je voudrais vous les dire
Et je voudrais les vivre
Je ne le ferai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je suis seule à crever, et je sais où vous êtes
J'arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître
Préparez votre temps, pour vous j'ai tout le mien
Je voudrais arriver, je reste, je me déteste
Je n'arriverai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je devrais vous parler,
Je devrais arriver
Ou je devrais dormir
J'ai peur que tu sois sourd
J'ai peur que tu sois lâche
J'ai peur d'être indiscrète
Je ne peux pas vous dire que je t'aime peut-être
Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne crois pas que tes souvenirs me gênent
Et cours, cours jusqu'à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m'aimes
Et si ce jour-là tu as de la peine
A trouver où tous ces chemins te mènent
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S'installe en toi
Pense à moi
Pense à moi
Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne le considère pas comme un problème
Et cours et cours jusqu'à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m'aimes
N'attends pas un jour, pas une semaine
Car tu ne sais pas où la vie t'emmène
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de
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C’est tout cassé, tout déchiré
Un petit bout de moi vient de se détacher
Un être est passé
Comme une étincelle, s’est infiltré
Empoisonnée, prise dans ses chaîines
Je me cache en silence entre deux mes prières
Ramassant les heures qu’il a jeté de son trouble cœur
Qu’elle est la peine qui nous unit ?
Qui fait que l’on aime une béquille?
Une chaîne, une chaîne
Déboussolée, doit s’enivrer, d’un amour et d’amours exsangues et torturées
Je vais me lancer dans d’autres bras qui ne me veulent pas
Le temps de recouvrer la mémoire
Du temps où je n’étais pas dérisoire
Même remplie de rêves immenses avec lesquels je danse avant de m’éveiller
De m’éveiller
C’est plus cassé, j’ai réparé
Je me souviens qu’il est l’heure de tout oublier
Un être est passé
Une autre peine est pardonnée
Share my thoughts if you will
And guide me through
I am the kind of mind,
Who’s torn in two
Doctor Jackil or Hyde
which one? just choose!
Know I can be from hell or Moulin Rouge
I’ll be yours
And when you'll have me
You'll be cursed
Because you love me
I've rehearsed
Every word of the sсene
Don’t approach me
Don’t touch my skin
I will burn you alive
I’ve regretted
Though I hate it
I am m-lle Hyde
I swear I always try to stop the game
When it’s goodness I play
I get check-mate
When I am just about
To beat the beast
It’s half a nature I fight
That I release
Hold me tight
May be this time I’ll escape
The dark evil side
If you dare
I’m ready to surrender
Now approach me
Now touch my skin
I will keep you alive
I’ve regretted though I hate it
I'll kill m-lle Hyde
Don't approach me
Don't touch my skin
I will burn you alive
You've approached me
You've touched my skin
Now you are a mister Hyde
Llora sin lágrimas, llora con tu sonrisa,
Llora con todo y te va a pasar.
Llora y se va a caer este dolor inmenso,
Llora para buscar un poco de paz.
Llora y te escucharé, llora como yo canto,
Libra lo que te mata el corazón,
Llora y compartiremos la pena que tu cuerpo
No tenía que descubrir,
Llora no tengas miedo,
Soy un alma sincera llora amiga mía.
Déjalo ir, amor no tiene, deja tu pena en un rincón,
Abre la puerta y vámonos.
¿Por qué morir? Voy adelante,
Si quieres aire y felicidad, libertad.
Siéntate aquí conmigo,
Háblame de tus sueños,
Los que dibujan niños tan feliz
Siéntate un momento luchemos en silencio
Y que vuelva el cielo azul,
Que nadie te haga daño,
Que nunca más te condenen hasta el momento de morir,
Déjalo ir, amor no tiene, deja tu pena en un rincón,
Abre la puerta y vámonos.
¿Por qué morir? Voy adelante,
Si quieres aire y felicidad, libertad.
Déjalo ir, amor no tiene, deja tu pena en un rincón,
Abre la puerta y vámonos.
Déjalo ir, amor no tiene,
Un hombre no es hombre si no puede amar...
Una fatina, una bambina, una stellina è
Balla come se le ali ce le avesse
E canta canta come me
Con lanima leggera
Quando la osservo vedo un cuore che
Già vola più alto
Vola per il mondo cercando libertà
Quando poi mi perdo nei pensieri suoi
Chiedo e mi risponde
Con lo sguardo dolce blu
Profondo
Una fatina, una bambina, una stellina è
Un angelo che
Cade senza che nulla laspetti
Un regalo in sé
Amore vero è
Quando nelle mie braccia si addormenta lei
Sento sulla faccia
Lacrime di gioia
Ed un sorriso pieno
Quando poi si sveglia e corre verso me
Sento che la vita
Finalmente è tutta lei
È Lou
È Lou
Des hommes,
Quand ils dansent comme personne
Quand ils chantent, que ça sonne
D'Astaire à Morrisson
Des ricains,
Quand ils jettent du bon vin
On leur foutrait des pains
Là, c'est plus nos copains
Tout comme nous,
Ils font le mal
Tout comme nous,
Ils font le bien
Comme on peut être animal
On peut aussi être humain
Etre homéricains
Des hommes,
Quand Michael Moore cogne
Sur un système “qui Bush” on
De Kaboul à Enron
Des ricains,
Quand se dressent les faux seins
Les fast-foods à chaque coin
Fausse viande dans les mains
Tout comme nous,
Ils font le mal
Tout comme nous,
Ils font le bien
Comme on peut être animal
On peut aussi être humain
Etre homéricains
Des hommes,
Quand la leçon qu'ils donnent
Est d'être comme un seul homme
Au pied des tours fantômes
Des ricains,
Quand au nom du divin
Ils sirotent leur voisin
Pour pouvoir faire le plein
Tout comme nous,
Ils font le mal
Tout comme nous,
Ils font le bien
Comme on peut être animal
On peut aussi être humain
Tout comme nous,
Ils sont des hommes
Nous sommes aussi des ricains
Jamais la foi n'abandonne
Les hommes, les homéricains...
On va faire tomber tous les murs
Entre l'amour et puis l'amour
Comme un retour vers le futur
Comme un premier bonheur du jour
Ressusciter l'espoir le plus fou
C'est comme un cri qui chante en nous
Mépriser l'arrogance
Faire parler les silences
En mots plus doux, plus tendres
Aimer ceux qui dérangent
Comme l'oiseau, je m'envole
Tout en moi se libère
Je n'ai plus de frontières
Folle, je ne suis pas folle
J'ai le cœur farandole
Et l'amour pour bannière
Le temps va refaire notre histoire
Y a plus de honte à ma mémoire
L'amour a guéri ses blessures
Il a fait tomber tous les murs
Ressusciter l'espoir le plus fou
C'est comme un cri qui chante en nous
Mépriser l'arrogance
Faire parler les silences
En mots plus doux, plus tendres
Mon bonheur est immense
Comme l'oiseau, je m'envole
Tout en moi se libère
Je n'ai plus de frontières
Folle, non je ne suis pas folle
J'ai le cœur farandole
Et l'amour pour bannière
Comme l'oiseau, je m'envole
Tout en moi se libère
Je n'ai plus de frontières
Folle, non je ne suis pas folle
J'ai le cœur farandole
Et l'amour pour bannière
L'or d'une nuit d'Orient coule à flots
Le parfum des fleurs d'oranger si doux
Le thé au jasmin parfume la peau
Des milliers de diamants roulent
Assise comme une image au bord de l'eau
Sa peau cuivrée attire même les bateaux
Elle est bien trop belle, ces murs bien trop hauts
Même si elle est fidèle à leurs désirs
Elle voudrait au moins choisir
De vivre comme une reine ou d'être une sirène
Quand le jour se lève
La nuit tombe à genoux
Le plus fou des rêves brille à son cou
Sur le toit du palais elle cueille des étoiles
Leïla les anges ont des voiles
Elle a appris à parler cette langue
Que seul les sultans ont le droit d'apprendre
Les yeux voilés, le corps à moitié nu
Elle danse et sans aucune retenue
Sourit mais pense à partir
Pour vivre mais comme une reine
Ou être une sirène
Elle se sent comme un oiseau
Partirait mais reviendrait bientôt
Elle pourrait enfin choisir
De vivre plus libre... Leïla
Elle va enfin choisir de vivre comme une reine
Ou être une sirène
Les amoureux de l'an deux mille
cherchent à comprendre
Que seules leurs mains restent mobiles
Pour se défendre
Ils transmettent par ordinateur
Chacun des battements de leur cœur
Les amoureux de l'an deux mille
Viennent juste d'apprendre
Que pour se câbler sur la ville
Faut être Internet tendre
Pour garder l'envie d'exister
Presser sur start et démarrer
Débranchez moi
Je voyage vers ce monde là
Monde sans été
Monde sans hiver
J'préfère brûler en enfer
Débranchez moi
Videz ma tête de ce métal
Arrachez ces câbles et faites moi mal
réanimez l'animal
Les amoureux de l'an deux mille se synthétisent
En plusieurs sentiments stériles
Qui s'électronisent
S'informatisent
Un simple rendez vous magique
Passe par un module de plastique
Débranchez moi
Je voyage vers ce monde là
Monde sans été
Monde sans hiver
J'préfère brûler en enfer
Débranchez moi
Videz ma tête de ce métal
Arrachez ces câbles et faites moi mal
réanimez l'animal
Les amoureux de l'an deux mille
N'ont plus rien à craindre
On fait l'amour cybernétique
On vient de s'éteindre
Débranchez moi
Videz ma tête de ce métal
Arrachez ces câbles et faites moi mal
réanimez l'animal
Débranchez moi
Je voyage vers ce monde là
Monde sans été
Monde sans hiver
J'préfère brûler en enfer
Débranchez moi
Videz ma tête de ce métal
Arrachez ces câbles et
... Read more »
Tu es comme un souffle court
Un trait fait par une main souillée
Qui te berce en secret
Tu sens que ces gestes sont volés
Que personne ne te croirait
Qu'on dira qu'il t'aimait
Ton corps est une île perdue
Le souvenir d'enfance
D'une princesse sans défense
Qui en a bien trop vu
Et puis s'est tue
Trouver les mots qui se sont noyés
Au fond de tes nuits violées
Et survivre au secret
Ton corps est une île perdue
Portée par une mere aux larmes salées et amères
Où plus rien ne vit
Rien ne s'espère
Pourtant tu pries, renies
Ce que crie ton ventre
Tu le jures, te rassures,
Tu es vivante
La femme que tu deviendras
La voie de ton ame
Le chemin que trouvera ton cœur
Et qui sauvera l'enfant,
La sœur, tu n'as pas fait d'erreurs
Tu n'as rien à reprocher à la petite fille que tu étais
Il ne te suffira que de l'aimer
Ton corps est parfait
Laisse-le t'aimer
C'est ça le secret
1, 2, peut-on compter jusqu'à 2 ?
Toi et moi, qui n'étions pas
Arrivés jusque-là
C'est sûr, pour guérir de nos blessures
Faut plus de 80 jours
Pour en refaire le tour
Je ferai le tour du monde
My love, lovée dans tes bras
Je partirai à la seconde
Sans passeport mais pas sans toi
Je crois que le soleil se lèvera
Si tu t'endors dans mes bras
On ne vieillira pas
Allez, tu m'as promis d'embarquer
On voyagera léger
Sans le poids du passé
Je ferai le tour du monde
My love, lovée dans tes bras
Je partirai à la seconde
Sans passeport mais pas sans toi
1, 2, peut-on compter jusqu'à 2 ?
Toi et moi, qui n'étions pas
Arrivés jusque-là
1, 2, peut-on compter jusqu'à 2 ?
Un peu plus tard on verra
Si l'on peut être trois
Je ferai le tour du monde
My love, lovée dans tes bras
Je partirai à la seconde
Sans passeport mais pas sans toi
Le jour où tu partiras
Bien plus loin qu'ici, ailleurs ou là-bas
Ce jour-là, au moins préviens-moi
J'allumerai des bougies en mémoire de toi
Et comme tu les aimais tant
Ces odeurs de cannelle je brûlerai de l'encens
Pour ton cœur infidèle
Ce n'est pas que je crains pour l'amour
Mais qu'à force de moi
Tu te lasses un beau jour
Je sais ton amour est discret
Il fantasme en secret
Mais l'amour c'est l'amour
Le jour où tu partiras
Prétextant sans complexes
L'abus de mes caresses
Ce jour-là
J'accuserai tes bras d'abandon de tendresse
Et de fausses promesses
Le jour où tu partiras
Quittant notre chez toi
Mon cœur voudra se taire
Dans ce v
ide qui m'encombre déjà
Sans l'écho de ta voix ta voix je serai prisonnière
Le jour où tu partiras
Laisse-moi ton adresse
Je t'écrirai tendresse
Ce jour
-là au moins préviens-moi
Je me poste chez moi
Besoin d'amour express
Non tu ne partiras pas
Tu ne partiras pas
Partiras pas
Mon sang soleil
Veine sanguine
Descendre à l'âme
Comme à la mine
Frotter la chair
Noircie dessous
L'air m'a manqué
A tes genoux
Ma Barbarie
Que rien ne chasse
Combien de temps
De guerres lasses
Entend l'amour
Que nous faisions
Passé le fruit
L'hiver est long
Roi de Sicile
Ou d'une île aussi seule
Ici le roi est une femme
Le roi est une femme
Et ma peau toujours se grise
D'être facile et soumise
Le roi, le roi est une femme
Le roi est une femme, le roi
Mon sang que j'aime
Passe à mon cœur
Régner ne doit
Pas te faire peur
Chercher la vie
Trouver c'est tout
On vit encore
Loin de chez nous
Au saut du ciel
Nos ailes se suivent
De mes épaules
Jusqu'à tes griffes
Par ces points d'eau
Dont tu me prives
Comme la mer
Sur les récifs
Roi de Sicile
Ou d'une île aussi seule
Ici le roi est une femme
Le roi est une femme
Et ma peau toujours se grise
D'être facile et soumise
Le roi, le roi est une femme
Le roi est une femme
Je peux choisir les pierres de ma maison,
Et même un Dieu pour mes prières.
Et quand je désespère, j'ai ma raison,
Qui m'encourage et qui m'éclaire.
Mais je ne peux rien faire
Contre la mort, contre la vie, contre l'amour.
Je peux choisir ma terre
Et c'est un jeu de prendre ou non le vent qui passe.
Je fais de la lumière, je fais du feu,
Quand ils s'éteignent, je les remplace.
Mais je ne peux rien faire
Contre la vie, contre la mort, contre l'amour.
Je peux choisir la guerre ou bien la paix
Et le plaisir quand il me tente.
Je peux changer mon cœur d'autres l'ont fait,
Jeter mon âme dans la tourmente.
Mais je ne peux rien faire
Contre la mort, contre la vie, contre l'amour.
Laisse-moi rêver,
Laisse-moi y croire
Toucher le ciel
Du bout des doigts
Et faire le vide
Dans ma mémoire
N'aimer que toi.
Laisse-moi rêver
D'une embellie
Où tout s'efface,
Où tout s'oublie.
Les mauvais jours
La guerre, la peur
Vivre l'amour
Selon mon cœur,
Et la passion
Qui brûle entre nous deux
Comme la neige et le feu.
Laisse-moi rêver ,
Que je m'envole
Intemporelle très loin de tout.
Que je me grise
De tes paroles
Contre ton cou.
Laisse-moi rêver
D'une maison claire
D'une chambre
Bleue près de la mer.
Après ces drames
D'adolescents,
Mouillés de larmes
Tachés de sang.
Pour oublier ce soir
Je veux rester
La tête sur ton épaule
Les yeux fermés.
Ne trouble pas
Ce bonheur là
Laisse-moi rêver.
Laisse-moi rêver,
Laisse-moi y croire
Toucher le ciel
Du bout des doigts.
Après ces drames
D'adolescents,
Mouillés de larmes
Tachés de sang.
Pour oublier ce soir
Je veux rester
La tête sur ton épaule
Les yeux fermés.
Ne trouble pas
Ce bonheur là
Laisse-moi rêver.
Ecris-moi une lettre de rupture
En m'expliquant toutes les raisons
Qui t'ont fait t'évanouir dans la nature
Qui me font mélanger toutes les saisons
Choisis bien tes mots, choisis les justes
Comme un artisan prend
Son temps quand il ajuste
Ecris-moi une lettre de rupture
Envoie-moi seulement le brouillon,
Promis, je ne vais rien chercher dans tes ratures
Ecris-moi une lettre au crayon
Ecris-moi comme on écrit la musique
Sacrifie-moi au Dieu
Des amours amnésiques
Même si partir quand l'autre reste
Ça fait du mal aux sentiments
Ça peut quand même faire un beau geste
Sauf si, bien sûr, l'un des deux ment
Ecris-moi une lettre de rupture
Comme on se laissait des mots à la maison
Je ne noterai pas les fautes d'écriture
Je ne verrai pas les fautes de liaisons
Et j'irais bien la chercher moi-même
Si je n'étais pas si sûre, pas si sûre que je t'aime
Même si partir quand l'autre reste
Ça fait du mal aux sentiments
Ça peut quand même faire un beau geste
Sauf si, bien sûr, l'un des deux ment
Même si partir quand l'autre reste
Ça fait du mal aux sentiments
Ça peut quand même faire un beau geste
Sauf si, bien sûr, l'un des deux ment
Ecris-moi une lettre de rupture,
En m'expliquant toutes les raisons
Qui t'ont fait t'évanouir...
L'heure de partir va enfin sonner,
Et les brumes en ton être ont fini
De te déboussoler.
Rien n'est plus ce que tu imaginais
Ce tout n'était qu'un reflet.
Regarde dans les yeux de ta vie,
La vie sait qui tu es,
Et si impunément tu l'oublies
Elle saura te guider... C'est vrai...
Reviens vers toi...
La vie est là.
L'heure de choisir n'est plus à ta portée
Et tu auras beau te contredire,
Ton cœur lui a parlé,
Etre ou ne pas être, n'est plus la question
Mais une immense affirmation.
Regarde dans les yeux de ta vie,
La vie sait qui tu es... C'est vrai.
Et si impunément tu l'oublies
Elle saura te guider... Elle sait...
Reviens vers toi,
La vie est là...
Et tout ce mal que tu peines à faire,
Fais-en ta prière.
Regarde dans les yeux de ta vie,
Ta vie sait qui tu es,
Et si impunément tu l'oublies
Elle saura te guider... C'est vrai...
Reviens vers toi...
La vie est là...
Il ne portait qu'un grand chapeau
Une canne et un long manteau
Il s'endormait sur les vieux bancs
Du parc où l'on allait souvent
Il dessinait des arcs-en-ciel
Sur les pavés, sous les gratte-ciels
Il se couchait près d'un sac bizarre
Où il cachait sa steel guitare
L'homme qui n'avait pas de maison,
Nous racontait tout plein d'histoires
S'il avait perdu la raison
Il n'avait pas perdu la mémoire
L'homme qui n'avait pas de maison,
Avait toujours un beau sourire,
Un grand sourire qui en dit long,
Quand ceux qui parlent n'ont rien à dire
Il ne portait qu'un grand chapeau
Une canne et un long manteau
Il s'endormait sur les vieux bancs
Du parc où l'on allait souvent
Il dessinait des arcs-en-ciel
Sur les pavés, sous les gratte-ciels
Il se couchait près d'un sac bizarre
Où il cachait sa steel guitare
L'homme qui n'avait pas de maison,
Avait gravé sur son visage
Les cruautés que les saisons
Avaient laissées sur leur passage
L'homme qui n'avait pas de maison
Rangeait son cœur dans une bouteille
Dont il tirait toute l'affection
Qui lui manquait au réveil...
Il ne portait qu'un grand chapeau
Une canne et un long manteau
Il s'endormait sur les vieux bancs
Du parc où l'on allait souvent
Il dessinait des arcs-en-ciel
Sur les pavés, sous les gratte-ciels
Il se couchait près d'un sac bizarre
Où il cachait sa steel guitare
La différence
Celle qui dérange
Une préférence, un état d'âme
Une circonstance
Un corps à corps en désaccord
Avec les gens trop bien pensants,
Les mœurs d'abord
Leur peau ne s'étonnera jamais des différences
Elles se ressemblent
Se touchent
Comme ces deux hommes qui dansent
Sans jamais parler sans jamais crier
Ils s'aiment en silence
Sans jamais mentir, ni se retourner
Ils se font confiance
Si vous saviez
Comme ils se foutent de nos injures
Ils préfèrent l'amour, surtout le vrai
À nos murmures
Ils parlent souvent des autres gens
Qui s'aiment si fort
Qui s'aiment comme on dit "normalement"
De cet enfant tellement absent
De ce mal du sang qui court
Et tue si librement
Leurs yeux ne s'éloigneront jamais par négligence
Ils se reconnaissent, s'apprivoisent
Comme ces deux femmes qui dansent
Sans jamais parler sans jamais crier
Elles s'aiment en silence
Sans jamais mentir, ni se retourner
Elles se font confiance
Si vous saviez
Comme elles se foutent de nos injures
Elles préfèrent l'amour, surtout le vrai
À nos murmures
De Verlaine à Rimbaud quand on y pense
On tolère l'exceptionnelle différence
Sans jamais parler sans jamais crier
Ils s'aiment en silence
Sans jamais mentir, ni se retourner
Ils se font confiance
Si vous saviez
Comme ils se foutent de nos injures
Ils préfèrent l'amour, surtout le vrai
À nos murmures
Solaire, émouvante,
Chevelure ambrée et dansante,
Regard intense prend corps
Et la vie s'élance
Déesse de mon cœur
Enfant sans aucune ombre, aucune peur.
Elle joue à rêver que l'on peut
Tout inventer, imaginer,
Voler est pour elle
Est bien réel
Elle sait
Fille d'un arbre blanc
Aux immenses bras luminescents,
Bientôt femme et guerrière
Quel que soit le temps...
Mais ce soir elle s'endort au cœur
D'un conte aux mille métaphores,
Demain sa mémoire allumera
L'espoir de n'être qu'une lumière
Le vent cachait la lune
La nuit masquait les dunes
Cela se passait loin d'ici
Dans le desert du Mali
Les cinq aventuriers
Vivant dans la fougue leur destin
En recherchant leurs équipiers
Ont trouve la fin du chemin
L'Aziza est en pleurs
Dans le vent du desert
Le coeur et l'aventure
Ont perdu leurs enfants
Tous les aventuriers
Se sentent abandonnés
Ils traînent par les sentiers
Leurs rêves découragés
Il revait d'infini
Elle ecrivait la nuit
Lui, il chantait la vie
Eux survolaient l'ennui
Ils vivaient de defis
De missions impossibles
De luttes pour la survie
Dans des régions inaccessibles
L'Aziza est en pleurs
Dans le vent du desert
Le coeur et l'aventure
Ont perdu leurs enfants
Tous les aventuriers
Se sentent abandonnés
Ils traînent par les sentiers
Leurs rêves découragés
Que reste-t-il dans les débris
Que reste-t-il de l'infini
Le sable est triste quand tombe la nuit
Dans le desert le vent s'ennuie
Paris Dakar, pari du coeur
Pari du coeur, pari perdu
Mais l'homme ne céde pas au malheur
Dans le vent, la fête continue!
L'Aziza est en pleurs
Dans le vent du desert
Le coeur et l'aventure
Ont perdu leurs enfants
Dans le bruit des moteurs
Et des hélicoptères
Les scrupules ont vécu
La fête continue!
L'homme traîne ses peines,
Conduit son ciel au désespoir,
Mange des étincelles et broie du noir,
Et la misère elle, ne vient pas de notre Terre,
Elle est la mère qu'on assassine.
Fragiles éventails nous sommes,
Exposés aux vents glacés qui résonnent,
Brisés nos cœurs pèsent une tonne,
Jamais heureux, jamais.
Assez...
Quand dans nos audaces,
Se glissera un peu d'amour,
Nous verrons la trace de meilleurs jours,
Quand dans nos prières
Il y aura le voeu sincère
De ne plus enfanter de guerre
D'immenses flammes s'élèveront
Miroir de nos âmes, gardiennes du son,
Nos dernières larmes couleront,
Heureux à jamais, heureux...
Libérer de la vie sans sens
Animer sa présence...
Anahata, Ananda, Amrita
Anahata, Kalpataru...
Anahata, Ananda, Amrita
Anahata, Kalpataru...
D'immenses flammes s'élèveront
Miroir de nos âmes, gardiennes du son,
Nos dernières larmes couleront,
Heureux à jamais, heureux...
Pour toi
J'ai déserté la terre
J'ai fait ma frontière
De ton nom et de tes yeux
C'est toi
Oui c'est toi seul au monde
Plus jamais personne
Ne me fera vivre à deux
Et pourtant je sais
Que si tu me quittais aujourd'hui même
Autant que je t'aime
Je vivrais
J'irais
Rencontrer mes larmes
Écarter des flammes
Mélanger ma vie à d'autres vies
Suivie
De ton ombre immense
Portant ta présence
Du passé à l'avenir
Et remplie de toi
Avec cette force qui me vient de toi
Si tu t'en allais
Je vivrais
Je vivrais
Comme on vit parce qu'on doit vivre
Oui je vivrais
Libérée sans être libre
Tu vois
Que sans toi j'existe
A peine un peu triste
Oui sans toi j'existerais
Avec toi pourtant
Si je n'ai que rêvé, si tu m'attends
Au lieu d'exister
Je vivrai
À faire pâlir tous les Marquis de Sade,
À faire rougir les putains de la rade,
À faire crier grâce à tous les échos,
À faire trembler les murs de Jéricho,
Je vais t'aimer.
À faire flamber des enfers dans tes yeux,
À faire jurer tous les tonnerres de Dieu,
À faire dresser tes seins et tous les Saints,
À faire prier et supplier nos mains,
Je vais t'aimer.
Je vais t'aimer
Comme on ne t'a jamais aimée.
Je vais t'aimer
Plus loin que tes rêves ont imaginé.
Je vais t'aimer. Je vais t'aimer.
Je vais t'aimer
Comme personne n'a osé t'aimer.
Je vais t'aimer
Comme j'aurai tellement aimé être aimé.
Je vais t'aimer. Je vais t'aimer.
À faire vieillir, à faire blanchir la nuit,
À faire brûler la lumière jusqu'au jour,
À la passion et jusqu'à la folie,
Je vais t'aimer, je vais t'aimer d'amour.
À faire cerner à faire fermer nos yeux,
À faire souffrir à faire mourir nos corps,
À faire voler nos âmes aux septièmes cieux,
À se croire morts et faire l'amour encore,
Je vais t'aimer.
Je vais t'aimer
Comme on ne t'a jamais aimée.
Je vais t'aimer
Plus loin que tes rêves ont imaginé.
Je vais t'aimer. Je vais t'aimer.
Je vais t'aimer
Comme personne n'a osé t'aimer.
Je vais t'aimer
Comme j'aurai tellement aimé être aimé.
Je vais t'aimer. Je vais t'aimer.
Assise à ta place
dans cette maison de glace
Je compte un à un mes torts
Je vois ces carafes remplies du vide
Qui transperce mon corps
Et toutes mes nuits se fondent
Jamais tes yeux ne tombent
de mon cœur qui succombe
A ton départ, mais...
Mais je t'appartiens
Comme l'orque et la mer ne font qu'un
Elles n'aiment qu'une seule fois
Puis échouent comme on se noie
Des projets, des rêves
s'arrachent et j'en crève
Je ne vis plus, je meurs
Même en surface
Te voir, me glace
et m'éventre le cœur
Et toutes mes nuits se fondent
Tes bras une autre tombe
Je méprise même son ombre
et ton départ, mais...
Mais je t'appartiens
Comme l'orque et la mer ne font qu'un
Elles n'aiment qu'une seule fois
Puis échouent comme on se noie
Elles n'aiment qu'une seule fois
D'accord, il existait d'autres façons de se quitter
Quelques éclats de verres auraient peut être pu nous aider
Dans ce silence amer, j'ai décidée de pardonner
Les erreurs qu'on peut faire à trop s'aimer
D'accord la petite fille en moi souvent te réclamait
Presque comme une mère, tu me bordais, me protegeais
Je t'ai volé ce sang qu'on n'aurait pas dû partager
A bout des mots, des rêves je vais crier
Je t'aime, je t'aime
Comme un fou comme un soldat
Comme une star de cinema
Je t'aime, je t'aime
Comme un loup comme un roi
Comme un homme que je ne suis pas
Tu vois, je t'aime comme ça
D'accord je t'ai confie tous mes sourires, tous mes secrets
Même ceux, dont seul un frère est le gardien inavoue
Dans cette maison de pierre,
Satan nous regardait danser
J'ai tant voulu la guerre de corps qui se faisaient la paix
Je t'aime, je t'aime
Comme un fou comme un soldat
Comme une star de cinema
Je t'aime, je t'aime
Comme un loup comme un roi
Comme un homme que je ne suis pas
Tu vois, je t'aime comme ça
Je t'aime, je t'aime
Comme un fou comme un soldat
Comme une star de cinema
Je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime, je t'aime
Comme un loup comme un roi
Comme un homme que je ne suis pas
Tu vois, je t'aime comme ça
Je ne rêve plus
Je ne fume plus
Je n'ai même plus d'histoire
Je suis sale sans toi
Je suis laide sans toi
Comme une orpheline dans un dortoir
Je n'ai plus envie
De vivre ma vie
Ma vie cesse quand tu pars
Je n'ai plus de vie
Et même mon lit
Se transforme en quai de gare
Quand tu t'en vas...
Je suis malade
Complètement malade
Comme quand ma mère sortait le soir
Et qu'elle me laissait seule avec mon désespoir
Je suis malade
Parfaitement malade
T'arrives on ne sait jamais quand
Tu pars on ne sait jamais où
Et ça va faire bientôt deux ans
Que tu t'en fous...
Comme à un rocher
Comme à un péché
Je suis accrochée à toi
Je suis fatiguée, je suis épuisée
De faire semblant d'être heureuse
Quand ils sont là
Je bois toutes les nuits
Et tous les whiskys
Pour moi ont le même goût
Et tous les bateaux
Portent ton drapeau
Je ne sais plus où aller
Tu es partout...
Je suis malade
Complètement malade
Je verse mon sang dans ton corps
Et je suis comme un oiseau mort
Quand toi tu dors...
Je suis malade
Parfaitement malade
Tu m'as privée de tous mes chants
Tu m'as vidée de tous mes mots
Pourtant moi j'avais du talent
Avant ta peau...
Cet amour me tue
Et si ça continue
Je crèverai seule avec moi
Près de ma radio
Comme un gosse idiot
En écoutant ma propre voix qui chantera...
Je suis malade
Complètement malade
Comme quand ma mère sortait le soir
Et qu'elle me laissait seule avec mon désespoir
Je suis malade
C'est ça... je suis malade
Tu m'as privée de tous mes chants
Tu m'as vidée de tous mes mots
Et j'ai le cur compl
... Read more »
Lara, Lara écoute-moi
J'ai besoin de toi
Je t'aime
Non, non, non, non
Souviens-toi nous deux
Assez, assez, assez, assez
Tu sais j'ai changé
Tu mens
Tu verras je ne suis plus comme avant
Je t'aime, je t'aime tellement
Je sais
Que je n'existe en toi que par alternance
Pas très loin de l'amour
Entre les mots et ton silence
Je sais
Que j'ai eu mal
De t'avoir trop fait confiance
Entre un peu et toujours
Y a des nuances
Lara, écoute-moi Lara
J'ai besoin de toi
Vraiment besoin de toi
Lara je t'aime
Non, non, non, non
Je t'en prie Lara
Assez, assez, assez, assez
Crois-moi
Tu mens
Lara
Va-t'en
Je sais
Tout l'inutile de vivre sans ta présence
Sans tes bras qui m'entourent
Tous mes regrets n'ont plus de sens
Je sais
Que j'y crois plus pourtant je prends de l'avance
Pour rêver de l'amour puisque tu y penses
Je sais
Que j'ai eu mal
De t'avoir trop fait confiance
Entre un peu et toujours
y a des nuances
Des fleurs de lis blanches sous un ciel bleu de cristal
Des balades sous une neige en forme d'étoile
Des érables aux couleurs d'une passion fatale
Je n'oublie rien de rien,
Je me souviens
Les odeurs d'une forêt qu'un beau lac dévoile
Les reflets d'un grand feu sur nos visages pâles
Une lumière intense par des nuits boréales
Je n'oublie rien de rien,
Je me souviens
J'aime tes poèmes,
Ton coeur, ta liberté
Tu es la seule terre où
Mon âme s'est posée
Un accent dont personne ne connaît les secrets
Un français qui s'élance
Dans des mots oubliés
Une manière inimitable de chanter
Je n'oublie rien de rien,
Je me souviens
J'aime tes blasphèmes,
Ta foi, ta dignité
Tu es comme une île
Que l'on ne peut pas quitter
J'aime tes poèmes,
Ton coeur, ta liberté
Tu es comme une île
Que l'on ne veut pas quitter
Des paysages qui mélangent au plus que parfait
Des dessins que la nature ne refait jamais
L'impression d'être entrée au jardin de la paix
Je n'oublie rien de rien
Et je reviens
Je serai toujours là
C'est une promesse
Que j'ai faite là
Comme une caresse
Les mots du cœur
Sont merveilleux
Je sais
L'amour s'appelle nous deux
Je connais ton cœur
Je'connais ton corps
Par cœur
Même quand tu blesses
C'est la tendresse
Qui pleure
Faut que j'te dise à tout moment
J'ai peur
Si peur de me brûler le cœur
J'm'arrêterai pas de t'aimer
Quoiqu'il arrive je sais
Te mentir ça m'sert à rien
Et tout te dire
Ça m'fait du bien
J't'ai toujours dit la vérité
Celle' d'aujourd'hui à tout changé
C'est le grand homme
Qui a décidé
Du reste il a fallu trancher
Je connais ton cœur
Je'connais ton corps
Par cœur
Même quand tu blesses
C'est la tendresse
Qui pleure
Faut que j'te dise à tout moment
J'ai peur
Si peur de me brûler le cœur
J'm'arrêterai pas de t'aimer ah ah
Ce sera mon petit secret
Comme un jardin discret
Qui voudrait fleurir
Dans ton cœur
D'ici rien ne part, rien de bouge
Arrêt sur écran vivant
Isolée, vaincue, sans doutes
Aliénée, pas même un battement
J'aimerai qu'on me ramène
Je ne reconnais plus les gens
Seule tout au fond de ma haine
La peine est mon dernier amant
Il faudrait que je me lève
Respire et marche vers l'avant
Bâtisse a nouveau la grève
Enterrée par mes sables mouvants
Et me souvenir de celle
Qui n'existe plus vraiment
Redevenir la rebelle
Et la bête vaincue par l'enfant
J'y crois encore
On est vivant tant qu'on est fort
On a la foi quand on s'endort la rage au ventre
J'y crois encore
A tout jamais
Jusqu'à la mort
Le silence a eu tort
J'y crois encore
Et que le l'espace où j'en crève
Devienne un autre néant
Quand le ciel dévoile soulève
En moi l'âme et l'émoi d'un géant
Me retourner sans un geste
Le passé m'en passer vraiment
Cracher sur tout ce qui blesse
Ramener le futur au présent
J'y crois encore
On est vivant tant qu'on est fort
On a la foi quand on s'endort la rage au ventre
J'y crois encore
A tout jamais
Jusqu'à la mort
Le silence a eu tort
J'y crois encore
J'y crois encore
A tout jamais
Encore plus fort
Le silence a eu tort
J'y crois encore
Un bout de mer, tout s'accélère
Jamais moyen de retourner en arrière
Un bout de ciel, des mauvaises nouvelles
De l'autre hémisphère
La météo, soleil tout là-haut
Sauf pour ceux qui brûlent de froid en enfer
Tourbillon, désinformation
C'est partout l'hiver
Dans ma mémoire, seul devant les chars
Un homme debout a fait avancer l'histoire
Et pourtant, rien n'est différent
La guerre, les gens
Tout se brouille, devant mes yeux
Et je ne comprends plus du tout qui mène le jeu
Cette voix de fer, me dit
«tout va de travers»
Alors j'ai zappé
Pour que l'image change
Et j'ai prié très fort
Pour que tout s'arrange
Si y a quelqu'un là-haut
Faites qu'on reprenne à zéro
Et j'espère, mais y a plus rien à faire
C'est comme une partie de carte sans jokers
Pas de doute, plus personne n'écoute
Sur cette petite planète
Pas de doute, personne ne s'écoute
Tous les appels se perdent dans la tempête
Cette voix de fer, me dit
«tout va de travers»
Alors j'ai zappé
Pour que l'image change
Et j'ai prié très fort
Pour que tout s'arrange
Si y a quelqu'un là-haut
Faites qu'on reprenne à zéro
Pas de doute, personne ne s'écoute
Tous les appels se perdent dans la tempête
Cette voix de fer, me dit
«tout va de travers»
Un bout de mer
Un bout de soleil
L'autre hémisphère
J'espère, jespère
J'ai douze ans maman
J'ai pas peur du sang
J'suis plus une enfant
Pour qui tu m'prends?
Faut que j'me dépêche de vivre ma vie maman
J'ai déjà trouvé mon premier cheveu blanc
J'ai douze ans maman
J'ai pas beaucoup d'temps
J'sais pas si tu comprends
Comment j'me sens
Quand j'vois passer des fusées dans l'firmament
J'me dis qu'on va y goûter avant longtemps
Quand j'r'garde la télévision
On parle seulement de pollution
Et de surpopulation
P't'êt' que la bombe à neutrons
Ce sera l'meilleur remède
Contre la misère sur la terre
Naturellement
Tu r'gardes seulement les téléromans maman
Tu sais pas c'qui s'passe dans l'univers
J'ai douze ans maman
J'ai besoin d'argent
J'pourrais m'prendre un amant
Comme dans ton temps
Qu'est-c'que j'vas faire?
Pour gagner ma vie maman
J'veux pas étudier pour rien jusqu'à trente ans
Aujourd'hui à l'école on nous a parlé
Des possibilités de vie
Dans les autres galaxies
Oui
On nous a aussi montré
Un film où on voyait
Comment copulent les libellules
C'est quoi la vie?
J'ai pas envie
D'avoir d'enfants maman
Faut que j'commence à prendre la pilule
J'ai douze ans maman
J'ai pas beaucoup d'temps
J'sais pas si tu comprends
Comment j'me sens
Quand j'vois passer des fusées dans l'firmament
J'espère qu'un jour je pourrai
... Read more »
Si perdue dans le ciel
Ne me restait qu'une aile
Tu serais celle-l
Si tranant dans mes ruines
Ne brillait rien qu'un fil
Tu serais celui-l
Si oublie des dieux
J'chouais vers une le
Tu serais celle-l
Si mme l'inutile
Restait le seuil fragile
Je franchirais le pas
Immortelle, immortelle
J'ai le sentiment d'tre celle
Qui survivra tout ce mal
Je meurs de toi
Immortelle, immortelle
J'ai dcroch un bout de ciel
Il n'abritait plus l'ternel
Je meurs de toi
Si les mots sont des traces
Je marquerai ma peau
De ce qu'on ne dit pas
Pour que rien ne t'efface
Je garderai le mal
S'il ne reste que a
On aura beau me dire
Que rien ne valait rien
Tout ce rien est moi
A quoi peut me servir
De trouver le destin
S'il ne mne pas toi ?
Immortelle, immortelle
J'ai le sentiment d'tre celle
Qui survivra tout ce mal
Je meurs de toi
Immortelle, immortelle
J'ai dchir un bout de ciel
Il n'abritait plus l'ternel
Je meurs de toi
Je meurs de toi...
Immortelle, immortelle
J'ai le sentiment d'tre celle
Qui survivra tout ce mal
Je meurs de toi
Immortelle, immortelle
J'ai dcroch un bout de ciel
Il n'abritait plus l'ternel
Je meurs de toi
Dans la forêt,
Quand le printemps eut cédé sa place à l'été
Dans le sous-bois, je me suis promenée
Le soleil n'atteignait que très peu les allées
Et la rivière chantait, doucement,
Que tout peut s'en aller
Assise sur un tronc d'arbre,
à travers mes larmes, j'ai revu mon passé…
Il y avait
C’était peut-être trois fois rien
Il y avait
Ton sourire au petit matin
Il y avait
Ce vieux manoir dans un jardin
Oublié au fond d'un bois de pin
Mais aujourd'hui il n'y a plus rien
Il y avait
C'était peut-être presque rien
Il y avait
Cette maison pleine de gens et de mystères
Il y avait
Ce permanent débarcadère
Où tous avaient leur pied-à-terre
A défaut d'être les pieds sur terre
Il y avait
Ces petites choses, je me souviens
Il y avait
Ces déjeuners tôt le matin
Il aimait
Son lévrier qui avait du chien1
Qui chapardait même les raisins
Qui s'endormait sur les coussins
Il y avait
Le feu dans l'âtre qui tenait chaud
La tout seul
Quand maman jouait du piano
Du piano
Tout est si loin
Il y avait
Mais ce n'était peut-être rien
Qu'un amour
D'adolescence, c'est très bien
Tu venais
Au crépuscule près du bassin
Tu parlais de demain
Sous la lune en tenant ma main
Il y avait…
Il venait d'avoir 18 ans
Il était beau comme un enfant
Fort comme un homme
C'était l'été évidemment
Et j'ai compté en le voyant
Mes nuits d'automne
J'ai mis de l'ordre à mes cheveux
Un peu plus de noir sur mes yeux
Ça l'a fait rire
Quand il s'est approché de moi
J'aurais donné n'importe quoi
Pour le séduire
Il venait d'avoir 18 ans
C'était le plus bel argument
De sa victoire
Il ne m'a pas parlé d'amour
Il pensait que les mots d'amour
Sont dérisoires
Il m'a dit: "j'ai envie de toi"
Il avait vu au cinéma
Le blé en herbes
Au creux d'un lit improvisé
J'ai découvert émerveillée
Un ciel superbe
Il venait d'avoir 18 ans
Ça le rendait presqu' insolent
De certitude
Et pendant qu'il se rhabillait
Déjà vaincue, je retrouvais
Ma solitude
J'aurais voulu le retenir
Pourtant je l'ai laissé partir
Sans faire un geste
Il m'a dit "c'était pas si mal"
Avec la candeur infernale
De sa jeunesse
J'ai mis de l'ordre à mes cheveux
Un peu plus de noir sur mes yeux
Par habitude
J'avais oublié simplement
Que j'avais deux fois 18 ans.
Petit homme
P'tit bonhomme d'aujourd'hui
Tu t'étonnes de cette étrange vie
Pour un homme, un inconnu
Un dieu que t'as jamais vu
On se bat tu t'demandes pourquoi
Il suffit d'un éclair
Pour déchaîner le bruit du tonnerre
Il suffit d'un éclair
Pour que coule bien trop de larmes amères
Tous ces canons inutiles
Je te sens tellement fragile
Pourquoi ces éclairs?
Où es-tu? Où es-tu? Où es-tu?
Petit gars t'avance pas dans la vie
Trop petit, l'univers de tes nuits
A l'école on t'apprend l'amour
D'une loi sainte cousue de velours
Pour laquelle tu te battras un jour
Il suffit d'un éclair
Pour déchaîner le bruit du tonnerre
Il suffit d'un éclair
Pour que coule bien trop de larmes amères
Tous ces canons inutiles
Je te sens tellement fragile
Pourquoi ces éclairs?
Et cette envie de vivre qui s'éveille
Pour qui la misère?
Où es-tu Dieu le père?
Il suffit d'un éclair
Pour déchaîner le bruit du tonnerre
Il suffit d'un éclair
Pour que coule bien trop de larmes amères
Tous ces canons inutiles
Je te sens tellement fragile
Pourquoi ces éclairs?
Un collier d’oranges amères
Une étole de verre
Une réponse sans prière
Une étoile de terre
Et dans ce sourire étrange
Le visage d’un ange qui me rappelle qu’ici-bas
Il ne manquait que toi
Pour que le combat ne se livre pas
Je rends les larmes
Toutes celles qu’on ne choisit pas
Je te donne mon âme
Si tu ne la prends pas
Le souffle d’une eau qui chante
Une odeur de menthe
La douceur d’une course lente
La dernière attente
Dessine-moi un mystère
Que rien ne peut défaire
Qui me rappelle qu’ici-bas
Il ne manquait que toi
Pour que le combat ne se livre pas
Je rends les larmes
Toutes celles qu’on ne choisit pas
Je te donne mon âme
Si tu ne la prends pas
A force de se réfléchir dans un miroir de souvenirs
J’en oublie que mon avenir est presque là
Il ne manquait que toi
Pour que le combat ne se livre pas
Je prends les larmes
Toutes celles qu’on pleure de joie
Maintenant que mon âme
Se souvient de toi
Il ne manquait que toi
Au bout de tout
De ce bleu immense
Au bout de mes joues
Et de ton cœur qui danse
À portée de mains
Et de l´esprit il y a
Plus que notre avenir
À portée du cœur
Il faut partir
À cent mille lieues
De ces yeux si clairs
Il y a cent mille feux
Qui nous brûlent les ailes
Je les emmènerai ces yeux
Et pour un peu nous oublierons l´univers
Tu me suivras
Enfin j´espère
Il existe un endroit au bout de la terre
Où je passerai ma vie entière à te plaire
Il existe un endroit où même le doute
Laisse sa place à l´eau qui coule goutte à goutte
Il existe un endroit où même je suppose
Que le temps entre toi et moi marquerait des pauses
Il existe un endroit
Où même le vent s´arrêtera
Dans ce paradis trop petit pour tous
Je fais notre nid, ne l´ai garni que de mousse
De brindilles et de soleil, de fleurs, de miel
Et puis à ton réveil
Je boirai tes mains et toi ma bouche
Il existe un endroit au bout de la terre
Où je passerai ma vie entière à te plaire
Il existe un endroit où même le doute
Laisse sa place à l´eau qui coule goutte à goutte
Il existe un endroit où même je suppose
Que le temps entre toi et moi marquerait des pauses
Il existe un endroit
Où même le vent s´arrêtera
Il est mon silence
Et mon impatience
Mon plus grand secret
Et quand il s’avance
Comme une ombre danse
Je suis celle qui sait
Qu'il est tout le feu
Caché sous mes yeux
Teinté de violet
Glisser sous les mains
De son corps divin
Est mon vœu discret
À l’heure où le vent de ses voiles s’abandonne,
Les flots de ma peau soudain déraisonnent
Il est tout le sang
Que mon corps charrie vers mon cœur
Tout l’amour qui fend
Les vagues immenses de mes erreurs
Tout, tout ce qui vibre
Intensément et à chaque heure
Il est lune, mystère, enchanteur
Deux étoiles mouvantes
Devenues filantes
Sous un seul regard
Flottent comme une île
Porteuses d’idylle
Quelques amours plus tard
Il est pas à pas
Devenu mon soi
éteignant mes peurs
Tal un chevalier
Il a apprivoisé
Le dragon qui pleure
À l’heure où l’espace en ce lien me libère
Je laisse enfin l'ame quitter sol et Terre
Il est tout le sang
Que mon corps charrie vers mon cœur
Tout l’amour qui fend
Les vagues immenses de mes erreurs
Tout, tout ce qui vibre
Intensément et à chaque heure
Il est lune, mystère, enchanteur
J’en appelle aux guerriers du ciel
Aux ardents porteurs de lumière
J’en appelle à mon immortel essentiel
Besoin de hauteur
À l’amour qui fend
Les vagues immenses de mes erreurs
Tout, tout ce qui vibre
Intensément et à chaque heure
Il est lune
... Read more »
Ici Ici j'ai connu la nuit
J'ai reçu la pluie
comme une délivrance
Parfois, touché le silence
Ici, ici, j'ai appris l'oubli
Ici, Ici, j'ai déjà aimé
même détesté
Au delà du bien
Aimé, au delà du mal
ici, pouvoir tout recommencer
C'est comme si un ange soudain
Me retenait les mains
J'ai regagné enfin la lumière
la certitude d'être forte et debout
Comme un instant de paix
à travers les éclairs
Je suis du ciel,
du ciel et de la terre
Mais ici, ici j'ai vu la colère
mes peines se défairent
mes envies de batailles
laissées aux chiens de paille
ici, enfin tout ressemble à la vie
ici, enfin s'envole ma vie
s'éloigne la pluie
c'était la nuit
Feels like you've built a wall around me
You've tried your best to ground me
Let me explain that I don't play by any other rules
I won't be nobody's fool - I won't lose this game
There is no way
I can love you with half of my heart
It would tear me apart
Chorus:
I am who I am
What else could I be
And I'll stand where I stand
I chose to be me
When you look in my eyes
You get what you see
Understand if you can
That I am who I am who I am
Think twice before you try to read me
Before you try to lead me into your trap
You've got no right to play with my emotion
'Cause you should know that I'm much deeper
than that
There is no way
I can love you with half of my heart
It would tear me apart
Chorus:
I am who I am
What else could I be
And I'll stand where I stand
I chose to be me
When you look in my eyes
You get what you see
Understand if you can
That I am who I am who I am
There is no way
I can love you with half of my heart
It would tear me apar
Chorus:
I am who I am
What else could I be
And I'll stand where I stand
I chose to be me
When you look in my eyes
You get what you see
Understand if you can
That I am who I am who I am
Enter the space in the dark,
Search for your own spark,
Enter this place
Of your whole undivided and one
Don't pray for love
And love yourself
Don't kill your pain
Make it your strength
Hear your wisdom
Calling within
Holding your every desire
Playing with your mourning heart
Feel all and nothing
Nothing is Life
Inside this vacuity
Your throne, your Kingdom will be ruthless
Your company will hurt
Most of your dreams will be shattered by a curse
Your crimes will deny how splendid you are
You will be human
I'm here no fear
I'm here no fear
I am A-WA
The light of your heart, of your soul
I am both of your memories
Your spirit is my own
I am all of your senses
The strangest part
I am your other half, your home
Find me inside, I'm not far,
I am your OTHER half... your home !
Komm', ich geh' mit dir durch den Sommerwind
Weisst du noch wie ein Vogel singt?
Auch wenn diesem Morgen die Hoffnung fehlt
Glaub' an eine gute Welt
Glaub' an eine Macht, die dein Leben hält
Glaub' an den, der die Sterne zählt
Glaub' an diese Wahrheit, sag' nicht vielleicht
Glauben war noch niemals leicht
Glaub' an die Menschen, die mit dir geh'n
Ich will dir helfen, die Sonne zu seh'n
Glaub' daran, dass dich jemand liebt
Glaub', dass es noch Wunder gibt
Glaub' an den Fremden vor deiner Tür
Glaub' an einen Frieden ganz tief in dir
Glaub' an dich und glaub' an mich
I didn’t think it could happen
I never thought I’d be here
Now that I feel it I wonder
Could there be a safer place
Well try, try and picture this
Fills up till you're in bliss
A nation full of rhymes.
Ever ever land is a place between my brain and my soul
Ever ever land is a dream I dream
to make me feel whole
Ever ever land when I need to be at peace it is the space
I keep to travel with my mind
Floating or flying just choose it
Silence and music to share
No lie or pain you can end it
Simply pure breathable air
Now, just imagine this
Only joy and bliss
To go through your life
Ever ever land is a place between my brain and my soul
Ever ever land is a dream I dream
to make me feel whole
Ever ever land when I need to be in peace it is the space
I keep to travel with my mind
If you don’t believe in this close your eyes and take a risk
Wish for something you have always wanted
Do it, give it all you’ve got
Dreams are just behind a thought
If you mean it with all of your heart
Ever ever land is a place between my brain and my soul
Ever ever land is a dream I dream
to make me feel whole
Ever ever land when I need to be at peace it is the space
I keep to travel with my mind
Ever ever land you are welcome to step in at all times
Ever ever land you don’t have to pack or check in your bag
Ever ever land you will soon decide to move in
Since it is a no man’s land without a wall
Somewhere between here and always
Somehow a new piece of sky