Il m’embrasserait sur la joue,
N’apprécierait pas la musique
Pour tout le reste il saurait tout,
Je tiendrais une place unique
Dans sa vie, je lui dirais «vous»,
Je l’appelerais quelque fois:
«Assez de voir passer les anges»,
Je lui dirais n’importe quoi,
Je lui dirais: «Je vous dérange»,
Alors il sourirait de moi
On s’aimerait tout bas, en ami,
à distance
On s’aimerait en silence comme on joue, сomme
on danse
Comme on pleure quelque fois quand on pense
à personne
Et que personne ne pense qu’on a ce chagrin-là.
On s’aimerait tout bas, en ami,
à distance
On s’aimerait en silence comme on joue, comme
on danse
Comme on pleure quelques fois quand on pense
à personne
Et que personne ne pense qu’on a ce chagrin-là…
Ce chagrin-là
On se fâcherait pour de faux,
Sur un détail plein d’importance
Ça durerait le temps qu’il faut
pour que reviennent nos confidences
Et j’oublierais tous ces défauts
On se croiserait quelque part
au milieu de nos tours de terre
On remercierait le hazard
Il aurait le talent de taire
Ce qui l’est le seul à savoir
On s’aimerait tout bas, en ami,
à distance
On s’aimerait en silence comme on joue, comme
on danse
Comme on pleure quelque fois quand on pense
à personne
Et que personne ne pense qu’on a ce chagrin-là.
On s’aimerait tout bas, en ami, à distance
On s’aimerait en silence comme on joue, comme
on danse
Comme on pleure quelques fois quand on pense
à personne
Et que personne ne pense qu’on a ce chagrin-là…
Ce chagrin-là .
On s’aimerait tout bas, en ami,
à distance
On s’aimerait en silence comme on joue, comme
on danse
Comme on pleure quelque fois quand on pense
à personne
Et que personne ne pense qu’on a ce chagrin-là.
On s’aimerait tout bas, en ami,
à distance
On s’aimerait en silence comme on joue, comme
on danse
Comme on pleure quelques fois quand on pense
à personne
Et que personne ne pense qu’on a ce chagrin-là…
Ce chagrin-là .
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